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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

« Le touch » Davy Crockett

Un anniversaire, cela se fête. Évidemment ! Et plus on en est, plus on s’amuse : vu le tsunami familial et amical, il y avait beaucoup de monde pour célébrer celui de Dave Corm, que Maya avait bien sûr entièrement organisé. Son fils Karim avait débarqué de Dubaï accompagné de sa copine suédoise. Charles, tout fraîchement marié, était alité, mais sa belle épouse, qui pétille et pétille, était comme un poisson dans l’eau de sa nouvelle famille. Il y avait aussi Joumana et Ramy Corm (jamais sans son chapeau), Leila Chahid arrivée le soir même de Bruxelles et sa sœur Zeina, de Paris, Issam et Suzan Chammas avec leur fils Nicholas (et Oulfa), Marwan et Mona Iskandar, Madeleine, Henri et Marianne Hélou, Abboud et Lina Tannous, Dr Antoine Nasrallah, Issam et Andrée Daouk, Razek et Maya Maamarbachi, Diana Sawaya, Robert Michaelian, Hagop et Rita Demerdjian, Nabil Tabet, Nadine Begdache, Shérine Daouk, Imad Idriss, ClaudeTarazi et Chawki Halawe, Namir et Lina Cortas, Farid et Danièle Chehab, l’ex-ambassadeur d’Arabie saoudite à Paris Fayçal Hojeilan (et Noha), et j’en passe... Bref, plus de cent personnes qui s’étaient retrouvées aux sons inoxydables de Câline Chidiac, qui a visiblement beaucoup apprécié la fusion de Hyam Ghandour avec le dance floor, tout comme la projection black & white qui passait en boucle le mariage de Dave et Maya et des extraits de la vie sociale beyrouthine d’avant la guerre. Cette petite séance cinéma a remporté un vif succès auprès des convives qui se sont amusés à voir des amis et des relations beaux, flamboyants et rajeunis de quarante ans. Ce qui ne les a absolument pas empêchés de s’agglutiner autour du buffet finger food pour goûter aux colossales finesses made by Nicolas Audi. C’est bien connu : les tympans et les rétines sont rarement heureuses si les papilles ne s’envolent pas...

Elle danse, Laure, elle danse...

Il n’y a pas que les jeunes qui occupent les pistes, même si le mythe a la dent dure ! Les grands aussi savent s’amuser, rire, boire et danser follement. Pour le dîner donné à quelque 70 invités dans sa villa à Yarzé – où il fallait passer plusieurs barrages militaires avant d’y arriver, sécurité présidentielle exige –, Laure Doumet a loué les services d’un DJ et aménagé un dance floor sur lequel Dory et Dotty Chamoun n’ont pas hésité à swinguer, entraînant dans leur sillage Joseph et Nahal Abou Charaf, Raja et Nada Salameh, Papou Lahoud Saadé, Amale Boutros, Antoine et Arlette Bou Khater, l’ambassadeur d’Espagne et sa femme, Renée Dagher, Serge Brounst, Robert et Micheline Boulos, Viviane Ghanem, et Wafa Saab... Qui dit mieux ?

Bye-bye petit assad ; SOS pélican

Les membres des associations BETA et Animaux Liban se frottent les mains : le lionceau qui grandit dans un appartement du centre-ville va prendre l’avion ce soir pour intégrer son milieu naturel, cette somptueuse savane africaine où il pourra rugir officiellement. Son maître, qui ne manquait jamais de le promener sur la corniche du BIEL et de poster ses photos sur Facebook, est triste à en mourir. Mais bon, quand on aime, il faut se sacrifier ! Tout contrairement à un habitant de la montagne qui, furieusement attaché à ses deux crocodiles, installés dans un petit bassin au cœur de son jardin, ne veut rien entendre. Absolument rien. Et jure que ses bébés prédateurs sont chouchoutés et traités comme ses propres enfants. D’ailleurs, pour qu’ils puissent batifoler follement, il compte bientôt leur offrir un plus large espace aquatique : la rivière qui longe le village ! Les tractations avec la municipalité sont ouvertes. L’affaire prend des proportions surréalistes.
Des proportions sadiques et inexplicables aussi au pet shop du Forum de Beyrouth où s’expose un pélican rasé, les ailes coupées, et attaché ! Pour un certain public, c’est un poil plus excitant qu’un Grand Prix de formule 1. BETA et Animaux Liban ont du boulot. Et il faut les aider.

Du psychédélique et des pins

Le Tout-Beyrouth culturel (écrivains, cinéastes, galeristes, gens de théâtre, journalistes, universitaires, libraires, etc.) mais aussi le ministre de la Culture, Gaby Layoun, et son prédécesseur Salim Wardy, se sont retrouvés à la Résidence des Pins pour la farewell party organisée par Denis Pietton et Carole Prat, qui ont reconverti pour cette occasion le grand salon en un véritable dancing : les tapis ont été roulés et rangés pour faire place à une piste de danse surélevée, illuminée par un dispositif d’éclairage psychédélique ; la musique très pop et Saturday night fever a fait vibrer la baraque ; le champagne et le vin ont coulé à gogo, et le buffet a fait honneur à la gastronomie française... L’ambassadeur et Mlle Prat ont ouvert le « bal pop » suivis par un assaut d’invités particulièrement affamés de dance floor, et notamment Sélim Mouzannar (toujours là où on l’attend le plus – ou le moins...), qui s’est déhanché jusqu’à tard dans la nuit en parfait Travolta.

Rendons à César...

Suite à une coquille informatique, il serait bon de rappeler que le président de l’Aero Club de Beyrouth est Abdo Ayoub ; la vice-présidente, Jacqueline Naccache ; le secrétaire général, Béchara Menassa ; le trésorier, Eddy Anid ; le commissaire, Mitri Schoucair. Les membres sont : Elham Hanna, Michèle Haddad, Leila Baladi, Jeanine Khoury, Gaby Harfouche et Claude Curmi.

ditavonbliss@hotmail.com
« Le touch » Davy CrockettUn anniversaire, cela se fête. Évidemment ! Et plus on en est, plus on s’amuse : vu le tsunami familial et amical, il y avait beaucoup de monde pour célébrer celui de Dave Corm, que Maya avait bien sûr entièrement organisé. Son fils Karim avait débarqué de Dubaï accompagné de sa copine suédoise. Charles, tout fraîchement marié, était alité, mais sa...

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