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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

À la recherche d’Abou Hassan

Qui dit aimer cuisiner doit sûrement aimer manger ! Même en cachette. C’est une loi de la nature. Alors, pour son numéro de mai, le Food and Wine, le plus important magazine américain consacré à la gastronomie, a demandé à des douzaines de grands chefs de trouver de par le monde « les cent restaurants qui valent un pèlerinage». Ils en ont cité une centaine entre l’Amérique du Nord, l’Australie, l’Europe, l’Afrique et l’Asie. Au Liban, leur choix est tombé sur un restaurant nommé Abou Hassan, décrit comme « expert en mezzés libanais et grillades, rue Salaheddine Ayoubi, Beyrouth ». Après moult recherches, on découvre un petit boui-boui, très sympa au demeurant, dans le quartier de Caracas, entre Hamra et Raouché. On n’a pas goûté les spécialités du monsieur, on le fera, mais ce qui est sûr, c’est que voilà une adresse plutôt atypique dans le paysage de la restauration à Beyrouth. Et ce n’est pas plus mal : tous les goûts sont dans la nature, non ?

J.J. l’amoroso

Joseph Jabra, président de la LAU et amoureux de son métier, un vrai sacerdoce, transpire le bonheur ! Dans ce Liban qui slalome entre les obstacles, la solidarité sociale et le sens de l’engagement restent un garde-fou dont tout le monde se prévaut ; une des dernières formes, sans doute, de cohésion sociale. Et tant mieux puisque c’est au service des jeunes, l’or brut de ce pays.
Un accord de coopération visant à assurer des bourses universitaires aux étudiants nécessiteux qui font preuve d’un haut niveau académique a été signé avec Adnan Kassar, le dynamique président du groupe Fransabank. De plus, le dîner de gala pour la dotation de ces bourses a généré plus d’un million de dollars ! Un grand succès que Jabra a tenu à célébrer en sa résidence, avec son équipe (Nassib Nasr et Nehmat Aoun) et le comité organisateur, dont Raymond et May Audi, Youssef et Lililane Comair, Hala Jabre, Tony et Micheline Abi Samra, Papou Lahoud Saadé, Laila Chaaban, Rafif Safadi, Joumana Boueid, Viviane Eddé et Hyam Musharrafieh. D’autres encore ont été invités à se joindre à l’assemblée, notamment Talal et Wadad Merhebi, Aline Lahoud, Mansour Rahbani, Tony Breiss, etc. Well done ! Maintenant il faut continuer...

Maha à Tyr d’ailes...

Pour souhaiter la bienvenue à Khalil Karam qui, depuis février, a pris ses fonctions de délégué permanent du Liban auprès de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), Maha Chalabi, présidente de l’Association internationale pour la sauvegarde de Tyr, a mis le paquet. Et quel paquet ! Elle a organisé en l’honneur du nouvel ambassadeur et de son épouse une réception dans son magnifique appartement parisien où se sont retrouvées deux cents personnalités triées sur le volet appartenant au monde culturel, politique et social français, libanais et international ; plusieurs anciens et actuels ambassadeurs, ainsi que des hauts fonctionnaires de l’Unesco. Une réception qui a allié avec subtilité le goût et le raffinement français aux couleurs et aux saveurs de la Phénicie ! Tyr vaut bien mille messes...

Lory et le beau treesome

Un nouveau trio d’artistes a provoqué un embouteillage monstre rue Sélim Bustros. C’est un tourbillon de Beyrouthins diablement impatients de découvrir les nouveaux venus sur la scène artistique qui ont débarqué en foule à la galerie Jacques Ouaiss où Lorraine Ouaiss a créé un événement festif autour des meubles de Carla Baz, des sculptures de Nayla Gabriel et des tableaux de Gabriel Attieh. Parents, amis et férus de design et d’art étaient au coude-à-coude pour se rassurer : la créativité de la nouvelle génération est aussi dynamique qu’un nouveau printemps ! C’est ce que se sont dit, entre autres visiteurs, Raymond et Marc Audi, Makram Sader, Amine Awad, Georges Abi Saleh, Nabil Chaya, Georges Aboujaoudé, Roula Habis, Nada Safa, Michael Zammar, etc., pendant que les commentaires explosaient comme des bouchons de champagne entre Galal Mahmoud, Joe Farah, May Badawi, Sami Habre et Diane Sawaya. Même la SuperSolidereGirl, Randa Armanazi, toujours débordée, a fait une rapide incursion (pensera-t-elle offrir un jour l’espace du BEC à aux jeunes talents ?)... Il y avait aussi Rosy Abourousse, Sélim et Raya Mouzannar, Alia et Fady Mogabgab, Maher Achi, Ingrid Dahdah, Lina Mroué, Mona Bassili Sehnaoui, Renata Zeidan, Maxime Chaya, Pierre Hneiné, Sherine Gargour, Naïm Kawas, Rania Farsoun, Carla Hnoud, Abdo Chaktoura et Amine Abou Khaled... sans oublier Nadim Gemayel, Raya el-Hassan, François Abi Saab, Béchara Asmar, Farid et Danièle Chéhab et Isabelle Eddé...Le talent fédère, il n’y a rien à dire.

Aboudi in « The Voice »!

Aboudi Kosta n’a pas échappé à la traditionnelle fiesta d’un anniversaire. Le sien, en l’occurrence. Et pour une surprise, c’en était une. En arrivant à The Kitchen de Hussein Hadid, en compagnie de Nasser et Safa Saïdi, il a à peine eu le temps de s’étonner du silence complet qui y régnait et des lumières éteintes, que les spots se sont rallumés et que s’est élevé un happy birthday entonné par sa femme Latifa (qui, dans son dos, avait tout organisé), sa fille Riham Serhan (avec Wassef et leurs trois enfants), Talal Saïdi et la toute gracieuse Anouchka Chamassian, ainsi qu’une cinquantaine de very close friends dont Mouna Hraoui, Salah et Wadad Salman, Samir et Joyce Mokbel, Raymond et May Audi, Mazen et Bouchra Salha, Viviane Debbas, Mona Safadi, Eddy et Mona Doumit, Sami et Najla Nahas, Wassila Ariss, Hala Fakhri, Khalil et Mona Zantout, Zouheir et Hindo Farchoukh, Claude Kanaan, etc. Après les félicitations, les hugs et les big bisous, un dîner gourmand, copieusement arrosé, fut servi aux sons d’un ensemble de « takht sharqî » qui tissait sa toile orientale. Aboudi et son gendre Wassef (dont l’anniversaire tombait la veille) ont soufflé leurs bougies avant que Pierre l’(en)chanteur n’enflamme les lieux avec les hits des années 70/80. Et là, chaud comme la braise et en grand fan de Abdel Halim Hafez, Aboudi n’a pas pu résister : il a pris le micro pour interpréter des chansons de la star égyptienne et, au vu du résultat, on peut dire qu’il est incontestablement doué. Un peu plus jeune, il aurait pu tenter sa chance dans la prochaine saison de « The Voice ».
Mais garder un secret n’est pas une mince affaire, aussi 24 heures plus tard un nouveau big cake attendait Aboudi chez Micky et Salwa Tuéni, qui offraient un grand dîner. Il y avait, entre autres, Fouad et Hoda Siniora, Mohammad Choucair, Roger et Joëlle Nasnas, Ghassan et Mayssam Skaff, Samir et Mary Alam, Elham Raphaël, Abdalla et Samia Tamari, Abed et Salma Tabbara, Alia Debs, Nasser et Safa Saïdi, etc.

L’enfant roi...

Il y avait du monde au Mandaloun Dancing Club : le ministre sortant Nicolas Nahhas, Jacques et Nicole Sarraf, Walid et Lina Assaf, Diala Rayess, Maha el-Chaer, Hussein Derar, Yasmine et Mohammad Sinno, Amal et Maher Merehbi, Rola Mansour, Imad et Zeina Khalil, Jamal et Léna Dandan, John et Samia Bakhos, Joumana et Wassim Halawi, Ramzi et Nayla Alami, Ziad et Najla Rayess, Ali et Nada Bdeir, Zina et Tarek Dajjani, Fayez et Asma Rasamni, Toufic et Rola Eid, Kamal et Dina Khodor, Nadim et Nayla Hamadeh, Saad et Karima Azhari, Karim et Diana Alameddine, Chaker, Dana et Raya Saab, Roger et Coralie Zaccal, Fouad et Nayla Takieddine, Karim et Rana Farra, Mahmoud et Rima Sidani, et beaucoup d’autres ont répondu présents pour soutenir l’association « Teach a Child ». Derrière sa caméra, Chafic Ariss filmait le public et se délectait visuellement du gâteau que les organisateurs coupaient sous une pluie de confettis et de centaines de ballons colorés qui tournoyaient dans la salle comme autant de promesse d’une nouvelle aube pour les enfants de « Teach a Child ». Puis ralliant à leur tour un large public, les chanteurs et danseurs du Mandaloun ont entamé, à plein-oreilles et talons, rock, world, reggae, électro ! Les couche-tôt plus très jeunes se sont retirés, laissant aux jeunes le terrain libre de secouer la baraque jusqu’à 2h du matin.

ditavonbliss@hotmail.com
À la recherche d’Abou HassanQui dit aimer cuisiner doit sûrement aimer manger ! Même en cachette. C’est une loi de la nature. Alors, pour son numéro de mai, le Food and Wine, le plus important magazine américain consacré à la gastronomie, a demandé à des douzaines de grands chefs de trouver de par le monde « les cent restaurants qui valent un pèlerinage». Ils en ont cité une...
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