Le secrétariat général du 14 Mars a tenu hier sa réunion hebdomadaire en présence des députés Ammar Houry et Sebouh Galbakian, des anciens députés Farès Souhaid, Samir Frangié et Élias Atallah, et de MM. Eddie Abillamaa, Élias Abou Assi, Vatcheh Nourbatlian, Hrair Hovivian, Youssef Doueihy, Naoufal Daou, Nassir el-Assaad et Nadim Abdel Samad.
À l'issue de la réunion, M. Assaad a donné lecture du communiqué suivant :
« Le secrétariat général n'a pas été surpris par les positions du Hezbollah et de son camp, qui mettent en exergue le mépris vis-à-vis de l'appel de la grande majorité des Libanais à la chute de la tutelle des armes. Le rassemblement d'un million de personnes le 13 mars à la place de la Liberté, ainsi que l'important meeting populaire à Tripoli (organisé par le Courant du futur et au cours duquel M. Saad Hariri a prononcé un discours) ont fait tomber tous les prétextes politiques qui servaient à justifier les armes. Le Hezbollah n'a plus d'arguments pour justifier ses armes, à part leur rajouter de nouvelles fonctionnalités, notamment la protection du pétrole et du gaz qui n'ont pas encore été découverts, en sus de leurs autres fonctions sur le double plan national et régional. »
Et le 14 Mars d'ajouter : « Le secrétariat général est surpris par l'adoption de la part du Hezbollah d'un discours qui, dans le contexte arabe présent, ne se contente pas d'ancrer les Libanais à un axe régional contraire à l'appartenance arabe du Liban, mais implique aussi le pays dans un agenda iranien flagrant, qui met en péril les relations du Liban avec les pays arabes et sape les intérêts des Libanais qui travaillent dans ces pays arabes. À travers ses positions, le Hezbollah fait assumer à la communauté chiite libanaise ce qu'elle n'est pas en mesure de supporter. Le secrétariat général s'étonne du fait que le Hezbollah ose se poser publiquement en tant que bras de l'Iran, de manière flagrante, outrepassant ainsi la volonté des Libanais. Le secrétariat général condamne ces attitudes et met l'accent à nouveau sur le fait que le slogan de la chute de la tutelle des armes soulevé par le 14 Mars s'est avéré être le bon, et chaque jour qui passe renforce la justesse de ce choix. »
« Le secrétariat général - qui considère que le secrétaire général du Hezbollah a consacré la position non centriste du Premier ministre désigné lorsqu'il a souligné que le prochain gouvernement sera soumis à un cahier des charges portant sur le Tribunal international et les armes - met en garde contre le fait que toute satisfaction de l'agenda fixé par le Hezbollah mettrait le Liban en position de confrontation avec le monde arabe, avide de liberté, de démocratie et de justice, et avec la communauté internationale, ce qui reléguerait le Liban au rang d'État voyou », ajoute le communiqué.
Et de conclure : « Le secrétariat général, qui a toujours adhéré aux résolutions internationales, salue l'adoption de la résolution 1973 par le Conseil de sécurité sur recommandation de la Ligue arabe, résolution qui autorise à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les civils en Libye. Le secrétariat général souligne qu'il s'agit de la première résolution internationale de ce genre, à travers laquelle la communauté internationale prend position contre l'utilisation d'armes à l'encontre de civils dans un pays, quel qu'il soit. Cela montre également la détermination de la légalité internationale à remplir son rôle au côté des peuples qui luttent pour leur liberté. »
À l'issue de la réunion, M. Assaad a donné lecture du communiqué suivant :
« Le secrétariat général n'a pas été surpris par les positions du Hezbollah et de son camp, qui mettent en exergue le mépris vis-à-vis de l'appel de la grande majorité des Libanais à la chute de la tutelle des armes. Le rassemblement d'un million de personnes le 13 mars à la place de la Liberté, ainsi que l'important meeting populaire à Tripoli (organisé par le Courant du futur et au cours duquel M. Saad Hariri a prononcé un discours) ont fait tomber tous les prétextes politiques qui servaient à justifier les armes. Le Hezbollah n'a plus d'arguments pour justifier ses armes, à part leur rajouter de nouvelles fonctionnalités, notamment la protection du pétrole et du gaz qui n'ont pas encore été découverts, en sus de leurs autres fonctions sur le double plan national et régional. »
Et le 14 Mars d'ajouter : « Le secrétariat général est surpris par l'adoption de la part du Hezbollah d'un discours qui, dans le contexte arabe présent, ne se contente pas d'ancrer les Libanais à un axe régional contraire à l'appartenance arabe du Liban, mais implique aussi le pays dans un agenda iranien flagrant, qui met en péril les relations du Liban avec les pays arabes et sape les intérêts des Libanais qui travaillent dans ces pays arabes. À travers ses positions, le Hezbollah fait assumer à la communauté chiite libanaise ce qu'elle n'est pas en mesure de supporter. Le secrétariat général s'étonne du fait que le Hezbollah ose se poser publiquement en tant que bras de l'Iran, de manière flagrante, outrepassant ainsi la volonté des Libanais. Le secrétariat général condamne ces attitudes et met l'accent à nouveau sur le fait que le slogan de la chute de la tutelle des armes soulevé par le 14 Mars s'est avéré être le bon, et chaque jour qui passe renforce la justesse de ce choix. »
« Le secrétariat général - qui considère que le secrétaire général du Hezbollah a consacré la position non centriste du Premier ministre désigné lorsqu'il a souligné que le prochain gouvernement sera soumis à un cahier des charges portant sur le Tribunal international et les armes - met en garde contre le fait que toute satisfaction de l'agenda fixé par le Hezbollah mettrait le Liban en position de confrontation avec le monde arabe, avide de liberté, de démocratie et de justice, et avec la communauté internationale, ce qui reléguerait le Liban au rang d'État voyou », ajoute le communiqué.
Et de conclure : « Le secrétariat général, qui a toujours adhéré aux résolutions internationales, salue l'adoption de la résolution 1973 par le Conseil de sécurité sur recommandation de la Ligue arabe, résolution qui autorise à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les civils en Libye. Le secrétariat général souligne qu'il s'agit de la première résolution internationale de ce genre, à travers laquelle la communauté internationale prend position contre l'utilisation d'armes à l'encontre de civils dans un pays, quel qu'il soit. Cela montre également la détermination de la légalité internationale à remplir son rôle au côté des peuples qui luttent pour leur liberté. »
Le secrétariat général du 14 Mars a tenu hier sa réunion hebdomadaire en présence des députés Ammar Houry et Sebouh Galbakian, des anciens députés Farès Souhaid, Samir Frangié et Élias Atallah, et de MM. Eddie Abillamaa, Élias Abou Assi, Vatcheh Nourbatlian, Hrair Hovivian, Youssef Doueihy, Naoufal Daou, Nassir el-Assaad et Nadim Abdel Samad. À l'issue de la réunion, M. Assaad a...
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