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Ali Chahrour

Ce qu'en dit la famille

Ayat Chahrour, la sœur

Ali est mon plus jeune frère, mon ami et mon âme sœur. Avec ces trois mots, je résume son caractère. Ali est le plus aimable de tous et pour tous. Il est l'amour de notre famille et son aide à tous est acquise à n'importe quel moment. Il est simple, il a l'esprit pratique, il est plein de joie et de vie. Toutes ces caractéristiques de Ali me font dire : Ne faites jamais d'un compagnon l'égal d'un frère...

Haera Slim, l'amie d'université

« Pour la première fois, belle ô Beyrouth... » Cette phrase, je m'en souviens à chaque fois que je passe à Hamra, et plus précisément devant le théâtre al-Madina. Je me suis répété cette phrase à deux reprises : la première était à l'ouverture de la pièce Fatmé, et la seconde à celle de Mawt Leila, toutes deux chorégraphiées et dansées, entre autres, par Ali Chahrour. Ce jeune homme illuminera chaque année les théâtres de Beyrouth, et son succès sera planétaire.

Maya Zbib, l'amie, membre active de Zoukak

Quand j'ai vu Ali dans son projet de fin d'études à l'Université libanaise, il m'a conquise comme danseur : il était évident qu'il avait l'intelligence et le talent de créateur. Et puis, je l'ai vu de plus près, car il a travaillé avec Zoukak, au cœur de notre parcours de quête d'images et de formes d'expression qui puisent dans notre héritage culturel. Le travail de Ali est une investigation rigoureuse et attentive aux nouvelles formes de langage du mouvement. Elles émanent d'un intérêt profond pour ce qui est une acculturation.

Junaid Sarieddine, l'ami, membre actif de Zoukak

Rares sont les artistes au Liban qui jettent un regard et une pensée sur les origines de l'art qu'ils exécutent. Surtout ceux qui croient que cette origine peut être une assise exclusive en soi. Et Ali Chahrour est de ceux-là. Il est avide de repenser et d'exposer ses connaissances, privées et publiques, à travers tout ce qui a trait à ce qui est personnel et familial. Et cela commence par les histoires de ceux qu'il aime et dont il s'est séparé, suite à la mort. De même que pour les relations communes : cela va de l'environnement culturel religieux jusqu'au social et au politique. Sa quête à travers la danse contemporaine, il la pose au cœur du rituel, des condoléances, du cérémonial, des séparations.

Agnès Troly, la directrice de la programmation au festival d'Avignon

J'ai découvert le travail de Ali Chahrour à Beyrouth lors d'un séjour organisé avec la compagnie Zoukak pour aller à la découverte d'artistes libanais. Le projet est né de présenter ses deux pièces à Avignon. Faire renaître des rituels de deuil, comme point de rencontre entre une culture, de grands mythes ou de grandes figures du monde arabe, avec l'approche d'un jeune homme qui porte son regard d'aujourd'hui et sa technique de danseur au service de ces formes. Ce qui est particulier dans ces deux pièces, c'est la poésie qui s'en dégage, qui n'est pas du tout exotique ou lointaine, mais qui touche profondément. Elles ont toute leur place au festival d'Avignon, dans le cadre du Cloître des Célestins, lui aussi lourd d'histoire et de culture.

 

Ayat Chahrour, la sœurAli est mon plus jeune frère, mon ami et mon âme sœur. Avec ces trois mots, je résume son caractère. Ali est le plus aimable de tous et pour tous. Il est l'amour de notre famille et son aide à tous est acquise à n'importe quel moment. Il est simple, il a l'esprit pratique, il est plein de joie et de vie. Toutes ces caractéristiques de Ali me font dire : Ne faites...

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