Rechercher
Rechercher

Moyen Orient et Monde

Pour Erdogan, la Syrie ne peut être forcée de choisir entre Assad et l’EI

La Syrie ne peut pas être forcée de choisir entre le président Bachar el-Assad et les « groupes terroristes » comme le groupe État islamique (EI), a déclaré hier le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier, qui a toujours rejeté l'idée de coopérer avec M. Assad pour lutter contre l'EI, s'adressait au Parlement turc au lendemain des frappes aériennes russes en Syrie en soutien au régime de Bachar el-Assad. Le président syrien reste la bête noire de la Turquie.
Son Premier ministre, Ahmet Davutoglu, a affirmé lundi à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'Onu, que la Turquie était prête à coopérer avec tous les pays, y compris la Russie, pour trouver une sortie de crise en Syrie qui exclue son président Bachar el-Assad et permette de vaincre le groupe État islamique. Dans son discours hier, M. Erdogan s'est gardé de faire une allusion explicite aux actions récentes de la Russie. Mais il a dit : « J'espère que les développements récents aideront à résoudre ce problème qui dure depuis presque cinq ans. » En revanche, son ministre des Affaires étrangères a exprimé hier ses « graves préoccupations » face aux frappes aériennes russes en Syrie.

La Syrie ne peut pas être forcée de choisir entre le président Bachar el-Assad et les « groupes terroristes » comme le groupe État islamique (EI), a déclaré hier le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier, qui a toujours rejeté l'idée de coopérer avec M. Assad pour lutter contre l'EI, s'adressait au Parlement turc au lendemain des frappes aériennes russes en Syrie en...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut