On a rendu hommage à l’homme de lettres libanais, Oscar Farès, qui nous a quittés avant de publier son dernier ouvrage. On a salué ses soins d’orfèvre et la portée réaliste-historique de son héritage littéraire d’expression française : ses romans, Une Métisse en Louisiane et Souvenirs d’enfance et de jeunesse, et ses pièces de théâtre Un Vieil Amour tout neuf (sélectionné par Radio France Internationale-Théâtre 93 sur 59 pays francophones) et Noces libanaises.
Il est temps d’évoquer, à l’occasion du quarantième jour de son décès, la dimension humaine du Libanais qui a reçu en 2006 le trophée de l’association Hommes sans frontières.
Détaché des biens matériels, Oscar Farès vivait d’amour, de littérature francophone et se désaltérait à la source de Mozart et de Beethoven, son eau fraîche quotidienne. En le perdant, ses amis et proches déplorent surtout son cœur d’or, sa générosité à toute épreuve et une sensibilité à fleur de peau qui faisaient de lui un seigneur de l’humain.
Amoureux de la vie, amoureux de l’amour, ses forces dionysiaques lui ont toujours donné des ailes pour voler, se créer un style et s’inscrire dans la durée. Il a tant aimé et tant partagé. Comment comprendre qu’il ait trébuché ? Comment comprendre que la faucheuse n’ait pas vu que le vieil homme était tout jeune ?
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On a rendu hommage à l’homme de lettres libanais, Oscar Farès, qui nous a quittés avant de publier son dernier ouvrage. On a salué ses soins d’orfèvre et la portée réaliste-historique de son héritage littéraire d’expression française : ses romans, Une Métisse en Louisiane et Souvenirs d’enfance et de jeunesse, et ses pièces de théâtre Un Vieil Amour tout neuf (sélectionné par Radio France Internationale-Théâtre 93 sur 59 pays francophones) et Noces libanaises.Il est temps d’évoquer, à l’occasion du quarantième jour de son décès, la dimension humaine du Libanais qui a reçu en 2006 le trophée de l’association Hommes sans frontières.Détaché des biens matériels, Oscar Farès vivait d’amour, de littérature francophone et se désaltérait à la source de Mozart et de Beethoven, son eau fraîche...
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