Pour la Première dame, Wafa’ Sleiman, « c’est l’ensemble de la société qui est automatiquement responsable de toute violence dirigée contre un enfant au Liban ». Elle a donc appelé tous les secteurs de l’État « à redoubler d’efforts », avec l’aide de la société civile, pour « instaurer une véritable, une profonde culture de l’humanisme pour repousser toutes les violences, à commencer par celles perpétrées contre les enfants ». Mme Sleiman a, en outre, insisté sur la nécessité de faire promulguer une loi spéciale pour punir les cas de violences familiales, « à même de limiter les souffrances des enfants maltraités et battus ».
La Première dame parrainait hier la cérémonie de lancement d’une campagne d’éveil autour de la violence contre les enfants organisée par le ministère des Affaires sociales et soutenue par l’association Save the Children au palais de Baabda, en présence des députés et des ministres membres de la commission parlementaire de la Mère et de l’Enfant, et de plusieurs personnalités.
La projection d’une vidéo et la présentation de diverses publications ont rythmé cette cérémonie dans le but d’attirer le maximum d’attention sur les dangers et les séquelles des violences physiques commises contre les enfants.
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Pour la Première dame, Wafa’ Sleiman, « c’est l’ensemble de la société qui est automatiquement responsable de toute violence dirigée contre un enfant au Liban ». Elle a donc appelé tous les secteurs de l’État « à redoubler d’efforts », avec l’aide de la société civile, pour « instaurer une véritable, une profonde culture de l’humanisme pour repousser toutes les...
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