Rechercher
Rechercher

Liban

Samir Frangié : Les armes sont devenues un fardeau pour le parti chiite

Réagissant à la conférence de presse du député Mohammad Raad, l’ancien député Samir Frangié a estimé que « les armes du Hezbollah sont devenues un fardeau pour leurs propriétaires ». « Ces armes sont en fin de parcours et ne sont plus utilisables, ni au plan local ni au plan externe. Elles n’ont plus que quelques semaines de fonctionnalité, jusqu’à la fin du régime Assad », a-t-il indiqué dans un entretien accordé à Radio-Orient. « Ce qui est demandé, c’est que ces armes, qui ont résisté à Israël, ne pèsent pas trop sur leurs propriétaires. Et il faut parachever la mise en application de Taëf et retourner aux textes concernant les armes, même si c’est avec vingt ans de retard », a ajouté M. Frangié.
De son côté, le député des Forces libanaises, Antoine Zahra, a indiqué que le fait de considérer Israël comme un ennemi n’avait jamais été un sujet de controverse entre les Libanais. « Les Libanais ont toujours été unanimes dans leurs plaintes contre les agressions israéliennes, plaintes qui font partie des missions du gouvernement », a-t-il dit, avant d’estimer que le député Raad tente de justifier les violations syriennes par les agressions israéliennes et « d’utiliser, comme d’habitude, le prétexte israélien pour qualifier de traîtres tous les Libanais et les Arabes ». « Si le gouvernement actuel, le vôtre, avait exhorté le gouvernement syrien à arrêter ses agressions contre le Liban, les forces du 14 Mars n’auraient pas été forcées de présenter un mémorandum au président de la République Michel Sleiman afin de préserver la souveraineté et la dignité du pays », a-t-il conclu.
Réagissant à la conférence de presse du député Mohammad Raad, l’ancien député Samir Frangié a estimé que « les armes du Hezbollah sont devenues un fardeau pour leurs propriétaires ». « Ces armes sont en fin de parcours et ne sont plus utilisables, ni au plan local ni au plan externe. Elles n’ont plus que quelques semaines de fonctionnalité, jusqu’à la fin du régime Assad », a-t-il indiqué dans un entretien accordé à Radio-Orient. « Ce qui est demandé, c’est que ces armes, qui ont résisté à Israël, ne pèsent pas trop sur leurs propriétaires. Et il faut parachever la mise en application de Taëf et retourner aux textes concernant les armes, même si c’est avec vingt ans de retard », a ajouté M. Frangié. De son côté, le député des Forces libanaises, Antoine Zahra, a indiqué que le fait de...
commentaires (0) Commenter

Commentaires (0)

Retour en haut