Abou Jamra invite les autorités à retirer à Rabieh « sa licence de diffusion »
OLJ /
le 07 septembre 2012 à 00h40
Le général Issam Abou Jamra, ancien allié du chef du CPL, a invité hier les autorités de l’information (le ministère de l’Information ? le Conseil national de l’audiovisuel ? ) « à retirer à la tribune de Rabieh sa licence de diffusion, pour préserver la stabilité et l’intérêt général ». Dans une critique directe au général Michel Aoun, l’ancien vice-Premier ministre, le général Abou Jamra, s’est dit étonné, hier, « comment un ancien chef de gouvernement, ancien ministre, ancien commandant en chef de l’armée, député actuel, chef d’un bloc parlementaire de 27 députés ayant au gouvernement 10 ministres et chef d’un parti présent sur l’ensemble du territoire libanais depuis de nombreuses années, demande, en direct, au cours du journal d’informations de mardi dernier, et depuis la tribune de Rabieh, de savoir ce qui se passe aux frontières ». « Une demande que le général a adressée aux ministères de la Défense et de l’Intérieur », a noté l’ancien allié du chef du CPL. Le général Aoun a, de plus, « mis en doute ce qui a été saisi au domicile de l’ancien ministre, Michel Samaha, et s’est demandé pourquoi les explosifs n’ont pas été interceptés au poste-frontière de Masnaa », a-t-il poursuivi. Et le général Abou Jamra de demander « à quel titre et selon quel protocole Michel Aoun a effectué cette demande en direct, à l’antenne ». « Les fonctions qu’il occupe actuellement l’autorisent pourtant à bien connaître les canaux officiels par lesquels il doit passer pour obtenir les informations liées à la sécurité et les réponses à ses questions », a-t-il assuré.
Le général Issam Abou Jamra, ancien allié du chef du CPL, a invité hier les autorités de l’information (le ministère de l’Information ? le Conseil national de l’audiovisuel ? ) « à retirer à la tribune de Rabieh sa licence de diffusion, pour préserver la stabilité et l’intérêt général ».Dans une critique directe au général Michel Aoun, l’ancien vice-Premier ministre, le général Abou Jamra, s’est dit étonné, hier, « comment un ancien chef de gouvernement, ancien ministre, ancien commandant en chef de l’armée, député actuel, chef d’un bloc parlementaire de 27 députés ayant au gouvernement 10 ministres et chef d’un parti présent sur l’ensemble du territoire libanais depuis de nombreuses années, demande, en direct, au cours du journal d’informations de mardi dernier, et depuis la tribune...
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Non seulement il a l'air de s'ennuyer ferme actuellement, ce monsieur, mais il en a mis du temps pour se poser des questions concernant le petit suiviste.
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Non seulement il a l'air de s'ennuyer ferme actuellement, ce monsieur, mais il en a mis du temps pour se poser des questions concernant le petit suiviste.
Robert Malek
07 h 18, le 07 septembre 2012
Sacré Abi Wan Ttison !
Antoine-Serge KARAMAOUN
04 h 03, le 07 septembre 2012
Sacré "Abou Ttison" ! Il ne manquait plus que celui-là, l'Aigri orangé, en sus de l'autre Amer "bigaradier".
Antoine-Serge KARAMAOUN
03 h 19, le 07 septembre 2012
Ou quand le "Général-point-à-la ligne" ne s'entend plus du tout avec le "Général-sauve-qui-peut"....On se demande d'ailleurs pourquoi cette brouille n'est pas survenue beaucoup plus tôt....De toute façon, comme on dit en vieux libanais: " ma bi so77 illa s sa7i7"!
Non seulement il a l'air de s'ennuyer ferme actuellement, ce monsieur, mais il en a mis du temps pour se poser des questions concernant le petit suiviste.
07 h 18, le 07 septembre 2012