Le président de la Commission parlementaire de la Santé au Liban, Atef Majdalani, a affirmé que la loi antitabac, entrée en vigueur aujourd'hui lundi, visait à protéger la santé des Libanais.
"L’interdiction de fumer dans les endroits publics fermés vise à protéger la santé des Libanais et empêcher certains de provoquer des maladies chez d’autres", a-t-il dit à la Voix du Liban (93,3).
Il a par ailleurs écarté la possibilité de créer des zones fumeurs et d’autres non fumeurs dans les restaurants.
Depuis lundi, le tabac est officiellement interdit dans les lieux publics fermés et sur les lieux de travail au Liban, conformément à la loi 174 de lutte antitabac.
Si cette mesure est fortement applaudie par les non-fumeurs qui espèrent pouvoir enfin "respirer librement", comme ils le soulignent, elle reste violemment contestée par les restaurateurs. Ces derniers, principalement ceux qui proposent le narguilé sur leur carte, mettent en garde contre une "forte baisse de leurs revenus de l’ordre de 25 %". Ils exprimeront leur mécontentement par un sit-in qu’ils observeront dans la matinée, à Antélias, une région dotée de nombreux restaurants.
"L’interdiction de fumer dans les endroits publics fermés vise à protéger la santé des Libanais et empêcher certains de provoquer des maladies chez d’autres", a-t-il dit à la Voix du Liban (93,3).
Il a par ailleurs écarté la possibilité de créer des zones fumeurs et d’autres non fumeurs dans les restaurants.
Depuis lundi, le tabac est officiellement interdit dans les lieux publics fermés et sur les lieux de travail au Liban, conformément à la loi 174 de lutte antitabac.
Si cette mesure est fortement applaudie par les non-fumeurs qui espèrent pouvoir enfin "respirer librement", comme ils le soulignent, elle...