Le numéro deux du Hezbollah cheikh Naïm Kassem a tenu, vendredi, le 14 Mars pour responsable des tensions sécuritaires au Liban-Nord, rapporte l'Agence nationale d'information (ANI, officielle). "Le 14 Mars est complètement responsable des tensions dans le Nord, notamment à Tripoli et au Akkar", a martelé le secrétaire général adjoint du parti chiite.
Cheikh Kassem a accusé l'opposition de tenter de faire du Liban un terrain pour le projet israélo-américain dirigé contre la Syrie et son peuple. "Leur trafic d'armes, leur protection des rebelles syriens armés ainsi que leur tentative de créer un conflit au Liban sont derrière les tensions sécuritaires qui ont récemment eu lieu", a poursuivi cheikh Kassem.
"Sans la majorité (du 8 Mars), le Liban aurait sombré dans le chaos", a assuré le numéro deux du Hezbollah réitérant le refus de son parti de toute ingérence dans les affaires syriennes. "Nous refusons catégoriquement la présence de forces internationales à la frontière nord (du Liban avec la Syrie), un projet sioniste par excellence, visant le Liban et la Syrie", a conclu Naïm Kassem.
Cheikh Kassem a accusé l'opposition de tenter de faire du Liban un terrain pour le projet israélo-américain dirigé contre la Syrie et son peuple. "Leur trafic d'armes, leur protection des rebelles syriens armés ainsi que leur tentative de créer un conflit au Liban sont derrière les tensions sécuritaires qui ont récemment eu lieu", a poursuivi cheikh Kassem.
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