Sept personnes arrêtées par l’armée libanaise à Tripoli devraient être déférées devant le tribunal militaire pour leur implication présumée dans les derniers combats confessionnels meurtriers dans cette grande ville du nord du Liban, a rapporté l’Agence nationale d’information (ANI, officielle).
Onze autres personnes ont été relâchées après que l’enquête eut montré qu’ils n’avaient pas participé aux heurts entre les quartiers rivaux de Bab al-Tabbaneh (sunnite et anti-Assad) et Jabal Mohsen (alaouite et pro-Assad), selon l'ANI.
L’armée libanaise a affirmé dans un communiqué avoir arrêté 18 personnes et saisi une quantité d’armes et de munitions, après qu’une patrouille eut été la cible de tirs dans la région de Zahriyeh, à Tripoli.
Des combats violents ont secoué Tripoli durant six jours faisant au moins 15 morts et des dizaines de blessés.
Onze autres personnes ont été relâchées après que l’enquête eut montré qu’ils n’avaient pas participé aux heurts entre les quartiers rivaux de Bab al-Tabbaneh (sunnite et anti-Assad) et Jabal Mohsen (alaouite et pro-Assad), selon l'ANI.
L’armée libanaise a affirmé dans un communiqué avoir arrêté 18 personnes et saisi une quantité d’armes et de munitions, après qu’une patrouille eut été la cible de tirs dans la région de Zahriyeh, à Tripoli.
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