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Sport - Auto - Formule 1

Que le sprint commence !

Finies les vacances pour le paddock. Après un mois d’inactivité, le petit monde de la F1 débute à Spa-Francorchamps son traditionnel sprint de fin de saison, avec neuf épreuves d’ici à la clôture brésilienne le 25 novembre prochain.
Une cadence infernale loin d’être redoutée par les pilotes qui semblent tous pressés d’en découdre. Et évidemment, en tête de liste, l’actuel leader du championnat, Fernando Alonso, n’est pas le moins impatient de poursuivre sa fantastique saison. En particulier en Belgique, qui est « un rendez-vous important » selon lui car il s’agit « du circuit préféré de la majeure partie des pilotes et que tous veulent du coup réussir sur ce tracé ». Nanti d’une confortable avance de 40 points sur son dauphin au classement, Mark Webber, l’Espagnol tentera une nouvelle fois de tirer le meilleur d’une Ferrari en progrès constant, mais qui ne peut toujours pas prétendre au rang de meilleure monoplace du plateau. Sauf dans ses mains...
En tout cas, sans préjuger de ce que sera la fin de saison, Alonso a déjà été adoubé par Michael Schumacher comme étant le numéro 1 de la saison. Dans un entretien accordé au journal allemand Bild am Sonntag, le pilote Mercedes a ainsi affirmé : « Ce que réussit Fernando est impressionnant. Il y a des phases, comme ça, où tout semble vous réussir, mais lui a le mérite d’avoir travaillé pour ça. »
Une épreuve belge qui s’annonce particulière pour Schumacher qui fêtera à cette occasion le 300e Grand Prix de sa carrière.
Et aujourd’hui, le recordman de succès à Spa-Francorchamps (six contre cinq à Ayrton Senna) sera nommé citoyen d’honneur de la ville wallonne. De quoi le motiver encore un peu plus pour décrocher son second podium de la saison ?

Hamilton ambitieux
De la motivation, les pilotes Lotus n’en manqueront pas, eux qui attendent toujours une première victoire cette saison. Deuxième en Hongrie avant la trêve, Kimi Räikkönen ne cache pas ainsi son ambition au moment d’aborder un grand prix qu’il a déjà remporté à quatre reprises : « Sur certains circuits, tout semble aller facilement et sur d’autres, vous n’avez jamais de chance. Bien sûr, je vais tout faire pour gagner cette course. J’ai pris place au milieu du podium un certain nombre de fois et je veux y retourner. » Du côté de Romain Grosjean, là aussi l’appétit est grand. « J’ai eu du temps lors de cette pause estivale pour faire le point sur cette première partie de la saison et je vais revenir plus fort.
D’un point de vue personnel, j’ai énormément appris sur ses 11 premières courses de l’année et je suis en train de trouver mon rythme, de trouver ce qui va bien et ce qui ne va pas. »
Et si vous ajoutez à ce bal des ambitieux un Lewis Hamilton rasséréné par son succès sur le Hungaoring et un Sebastian Vettel piaffant d’impatience de retrouver le goût de la victoire qu’il n’a plus dégustée depuis sept courses, vous aurez le tableau annoncé d’un grand prix qui s’annonce âprement convoité.

Le circuit

Longueur : 7,004 km.
Tours : 44.
Distance totale : 308,052 km.
Palmarès des cinq dernières saisons :
2011 : Sebastien Vettel (Red Bull)
2010 : Lewis Hamilton (McLaren)
2009 : Kimi Räikkönen (Ferrari)
2008 : Felipe Massa (Ferrari)
2007 : Kimi Räikkönen (Ferrari).
Les températures devraient culminer à 18° et la course pourrait se dérouler sous des nuages plus ou moins menaçants.

Le programme du week-end

(Heure de Beyrouth)
Vendredi 31 aout :
11h00-12h30 : Essais Libres 1
15h00-16h30 : Essais Libres 2.
Samedi 1er Septembre :
12h00-13h00 : Essais Libres 3
15h00 : Qualifications.
Dimanche 2 septembre :
15h00 : Course.
Une cadence infernale loin d’être redoutée par les pilotes qui semblent tous pressés d’en découdre. Et évidemment, en tête de liste, l’actuel leader du championnat, Fernando Alonso, n’est pas le moins impatient de poursuivre sa fantastique saison. En particulier en Belgique, qui est « un rendez-vous important » selon lui car il s’agit « du circuit préféré de la majeure partie des pilotes et que tous veulent du coup réussir sur ce tracé ». Nanti d’une confortable avance de 40 points sur son dauphin au classement, Mark Webber, l’Espagnol tentera une nouvelle fois de tirer le meilleur d’une Ferrari en progrès constant, mais qui ne peut toujours pas prétendre au rang de meilleure monoplace du plateau. Sauf dans ses mains... En tout cas, sans préjuger de ce que sera la fin de saison, Alonso a déjà été...
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