Selon le bulletin de la Fransabank pour le premier semestre de l’année 2012, la croissance économique libanaise a été affectée par les événements régionaux et les conflits internes. Les indicateurs économiques ayant affiché un recul sont notamment les permis de construire (-15,61 %), la vente de propriété (-8,02 %), le nombre de touristes (-7,79 %), le nombre de navires au port de Beyrouth (-6,9 %) et les prêts aux petites et moyennes entreprises (PME) avec une baisse de 11,4 %.
Par ailleurs, le rapport a souligné que les finances publiques se sont légèrement améliorées durant les six premiers mois de l’année et en comparaison avec la même époque un an plus tôt. Les recettes publiques ont atteint 4,1 milliards de dollars, une augmentation de 15,17 %, tandis que les dépenses publiques se sont élevées à 5,24 milliards de dollars, soit une hausse de 9,85 % durant la même période. Le déficit budgétaire diminua alors de 5,78 %, ainsi établi à 1,14 milliard de dollars.
Toujours selon le rapport, la dette publique brute a atteint 55,1 milliards de dollars à la fin du mois de juin 2012, soit une augmentation de 4,91 % en glissement annuel. À l’exclusion des dépôts du secteur public et des banques commerciales à la Banque du Liban (BDL), la dette publique nette a augmenté de 3,55 % à 47,2 millions de dollars.
D’autre part, la situation monétaire est restée relativement stable grâce à la politique monétaire stricte de la Banque du Liban (BDL) et la demande accrue de la livre libanaise. La masse monétaire (M3) a augmenté durant les six premiers mois pour atteindre 94,92 milliards de dollars. L’inflation se situe à 3,1 % contre 6 % un an auparavant, selon l’administration centrale de la statistique.
Quant au secteur bancaire, ses indicateurs ont continué leur croissance modérée depuis le début de l’année. L’actif total des banques opérant au Liban a augmenté de 7,68 % en s’établissant à 145,8 milliards de dollars, fin juin 2012. Les dépôts du secteur privé ont atteint 119,48 milliards de dollars (+7,53 %) et les crédits accordés à ce même secteur sont arrivés à 41,69 milliards de dollars (+11,92 %).
Enfin, en ce qui concerne le secteur externe, et selon le conseil supérieur de la douane, la valeur des importations a totalisé 10,9 milliards de dollars à la fin du premier semestre, soit une augmentation de 18,22 % en glissement annuel, alors que les exportations ont totalisé 2,2 milliards de dollars (+4,26 %). En somme, le déficit commercial a atteint 8,7 milliards de dollars, en hausse de 22,36 % en glissement annuel.
Par ailleurs, le rapport a souligné que les finances publiques se sont légèrement améliorées durant les six premiers mois de l’année et en comparaison avec la même époque un an plus tôt. Les recettes publiques ont atteint 4,1 milliards de dollars, une augmentation de 15,17 %, tandis que les dépenses publiques se sont élevées à 5,24 milliards de dollars, soit une hausse de 9,85 % durant la même période. Le déficit budgétaire diminua alors de 5,78 %, ainsi établi à 1,14 milliard de dollars.
Toujours selon le rapport, la dette publique brute a atteint 55,1 milliards de dollars à la fin du mois de juin 2012, soit une augmentation de 4,91 % en glissement annuel. À l’exclusion des dépôts du secteur public et des banques commerciales à la Banque du Liban (BDL), la dette publique nette a augmenté de 3,55 % à 47,2 millions de dollars.
D’autre part, la situation monétaire est restée relativement stable grâce à la politique monétaire stricte de la Banque du Liban (BDL) et la demande accrue de la livre libanaise. La masse monétaire (M3) a augmenté durant les six premiers mois pour atteindre 94,92 milliards de dollars. L’inflation se situe à 3,1 % contre 6 % un an auparavant, selon l’administration centrale de la statistique.
Quant au secteur bancaire, ses indicateurs ont continué leur croissance modérée depuis le début de l’année. L’actif total des banques opérant au Liban a augmenté de 7,68 % en s’établissant à 145,8 milliards de dollars, fin juin 2012. Les dépôts du secteur privé ont atteint 119,48 milliards de dollars (+7,53 %) et les crédits accordés à ce même secteur sont arrivés à 41,69 milliards de dollars (+11,92 %).
Enfin, en ce qui concerne le secteur externe, et selon le conseil supérieur de la douane, la valeur des importations a totalisé 10,9 milliards de dollars à la fin du premier semestre, soit une augmentation de 18,22 % en glissement annuel, alors que les exportations ont totalisé 2,2 milliards de dollars (+4,26 %). En somme, le déficit commercial a atteint 8,7 milliards de dollars, en hausse de 22,36 % en glissement annuel.
Selon le bulletin de la Fransabank pour le premier semestre de l’année 2012, la croissance économique libanaise a été affectée par les événements régionaux et les conflits internes. Les indicateurs économiques ayant affiché un recul sont notamment les permis de construire (-15,61 %), la vente de propriété (-8,02 %), le nombre de touristes (-7,79 %), le nombre de navires au port de Beyrouth (-6,9 %) et les prêts aux petites et moyennes entreprises (PME) avec une baisse de 11,4 %.Par ailleurs, le rapport a souligné que les finances publiques se sont légèrement améliorées durant les six premiers mois de l’année et en comparaison avec la même époque un an plus tôt. Les recettes publiques ont atteint 4,1 milliards de dollars, une augmentation de 15,17 %, tandis que les dépenses publiques se sont élevées à...