Stéphane Michaka.
Une manifestation qui a réuni des dizaines de milliers de personnes à Chanceaux-près-Loches, en Touraine.
Florian Zeller a reçu le « prix de la rentrée » pour son roman La Jouissance (Gallimard), « un chef d’œuvre à la hauteur des meilleurs Kundera », selon le président de la manifestation culturelle, l’académicien Jean-Marie Rouart. Ce dernier a lui-même reçu le « prix de l’Œuvre » pour son Napoléon ou la destinée (Gallimard).
Stéphane Michaka s’est pour sa part vu décerner le Laurier vert « révélation » pour son roman Ciseaux (Fayard), lors d’un palmarès qui se veut une répétition générale avant la rentrée littéraire et ses prestigieux prix à l’automne.
Parmi les quelque 200 auteurs – écrivains, hommes politiques et personnalités diverses – présents dans le village forestier, où ils ont dédicacé leur dernier ouvrage ou participé à des débats, certains ont attiré une attention particulière, comme l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing.
« Les Français croient que quand quelqu’un a été président de la République il ne peut plus rien faire d’autre, il n’a plus qu’à mourir », a-t-il plaisanté lors du « Café littéraire », l’un des temps forts du festival créé par l’écrivain Gonzague Saint-Bris.
L’ancien chef d’État a parlé de son roman Mathilda (XO), assis à la même table que l’ancienne actrice de films X devenue animatrice, Brigitte Lahaie, venue présenter son dernier livre, et l’abbé Alain de La Morandais.
M. Giscard d’Estaing a ensuite reçu, des mains de son confrère de l’Académie française Jean-Marie Rouart, le Laurier vert de l’héroïne de roman pour Mathilda.
L’acteur et écrivain Lorànt Deutsch s’est également attiré un vif succès en racontant la genèse de son phénoménal succès de librairie Métronome, qui s’est retrouvé au cœur d’une polémique, l’auteur se retrouvant soupçonné d’être un faussaire historique doublé d’idéologue.
« Mon livre a été gagnant-gagnant pour tous ceux qui aiment l’histoire », a-t-il plaidé devant des centaines de personnes venues assister au Café littéraire.
Florian Zeller a reçu le « prix de la rentrée » pour son roman La Jouissance (Gallimard), « un chef d’œuvre à la hauteur des meilleurs Kundera », selon le président de la manifestation culturelle, l’académicien Jean-Marie Rouart. Ce dernier a lui-même reçu le « prix de l’Œuvre » pour son Napoléon ou la destinée (Gallimard).
Stéphane Michaka s’est pour sa part vu décerner le Laurier vert « révélation » pour son roman Ciseaux (Fayard), lors d’un palmarès qui se veut une répétition générale avant la rentrée littéraire et ses prestigieux prix à l’automne.
Parmi les quelque 200 auteurs – écrivains, hommes politiques et personnalités diverses – présents dans le village forestier, où ils ont dédicacé leur dernier ouvrage ou participé à des débats, certains ont attiré une attention particulière, comme l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing.
« Les Français croient que quand quelqu’un a été président de la République il ne peut plus rien faire d’autre, il n’a plus qu’à mourir », a-t-il plaisanté lors du « Café littéraire », l’un des temps forts du festival créé par l’écrivain Gonzague Saint-Bris.
L’ancien chef d’État a parlé de son roman Mathilda (XO), assis à la même table que l’ancienne actrice de films X devenue animatrice, Brigitte Lahaie, venue présenter son dernier livre, et l’abbé Alain de La Morandais.
M. Giscard d’Estaing a ensuite reçu, des mains de son confrère de l’Académie française Jean-Marie Rouart, le Laurier vert de l’héroïne de roman pour Mathilda.
L’acteur et écrivain Lorànt Deutsch s’est également attiré un vif succès en racontant la genèse de son phénoménal succès de librairie Métronome, qui s’est retrouvé au cœur d’une polémique, l’auteur se retrouvant soupçonné d’être un faussaire historique doublé d’idéologue.
« Mon livre a été gagnant-gagnant pour tous ceux qui aiment l’histoire », a-t-il plaidé devant des centaines de personnes venues assister au Café littéraire.
Une manifestation qui a réuni des dizaines de milliers de personnes à Chanceaux-près-Loches, en Touraine.Florian Zeller a reçu le « prix de la rentrée » pour son roman La Jouissance (Gallimard), « un chef d’œuvre à la hauteur des meilleurs Kundera », selon le président de la manifestation culturelle, l’académicien Jean-Marie Rouart. Ce dernier a lui-même reçu le « prix de l’Œuvre » pour son Napoléon ou la destinée (Gallimard).Stéphane Michaka s’est pour sa part vu décerner le Laurier vert « révélation » pour son roman Ciseaux (Fayard), lors d’un palmarès qui se veut une répétition générale avant la rentrée littéraire et ses prestigieux prix à l’automne.Parmi les quelque 200 auteurs – écrivains, hommes politiques et personnalités diverses – présents dans le village forestier,...