À l’initiative d’Eléftériadès productions et de Karim Ghattas, la fanfare tzigane yougoslave a présenté, au Music Hall, devant un public nombreux, un spectacle aux thèmes inspirés de leurs traditions.
Par une mise en scène riche et colorée, un décor folklorique et des costumes traditionnels, cet ensemble musical composé de plus d’une dizaine de trompettistes, guitaristes et batteurs, a réussi à reproduire l’ambiance de l’ex-Yougoslavie sur les planches et à entraîner un public survolté, dansant, buvant et chantant. Le spectacle démarre avec la music Jelem, Jelem au tempo lent et langoureux, qui ira crescendo tout au long du concert pour s’achever dans un cocktail explosif de différentes tonalités. De Those were the days de Gene Raskin à Miserlou de Dick Dale, en passant par Ya Ghayeb de Fadel Shaker, l’orchestre a varié les styles, alterné les genres, et fusionné le tout dans un moule propre à lui. Un voyage fascinant offert par cette bande de « janissaires » revisitant différents pays et différentes musicalités. Ainsi, ils inviteront sur scène le violoniste Rabih Mitri Bou-Serhal qui ajoutera sa touche musicale à celle de la bande. Cet orchestre essentiellement à cuivres, qui s’est fait connaître à travers les films d’Emir Kusturica et qui n’est plus inconnu du public libanais, semble avoir été très vite adopté par l’audience. Ambiance de grosse fête, familiale et populaire, à la joie communicative qui prend l’audience à bras-le-corps sans lâcher prise jusqu’à la fin de la soirée.
Par une mise en scène riche et colorée, un décor folklorique et des costumes traditionnels, cet ensemble musical composé de plus d’une dizaine de trompettistes, guitaristes et batteurs, a réussi à reproduire l’ambiance de l’ex-Yougoslavie sur les planches et à entraîner un public survolté, dansant, buvant et chantant.Le spectacle démarre avec la music Jelem, Jelem au tempo lent et langoureux, qui ira crescendo tout au long du concert pour s’achever dans un cocktail explosif de différentes tonalités. De Those were the days de Gene Raskin à Miserlou de Dick Dale, en passant par Ya Ghayeb de Fadel Shaker, l’orchestre a varié les styles, alterné les genres, et fusionné le tout dans un moule propre à lui. Un voyage fascinant offert par cette bande de « janissaires » revisitant différents pays et différentes...
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