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Diaspora - Histoire

Nos ancêtres bâtisseurs et l’énigme des temples de Baalbeck

Si les Libanais d’aujourd’hui étonnent le monde par leur réussite dans les pays où ils se trouvent, nos ancêtres ne sont pas en reste, comme en témoigne un livre paru récemment en France.

La page de couverture de l’ouvrage.

Les Plus grands phénomènes inexpliqués, publié aux éditions Original Books en 2011, est la traduction du livre Greatest Mysteries of the Unexplained (éditions Arcturus Publishing Limited, Londres, 2005).


Les auteurs, Lucy Doncaster et Andrew Holland, citent dans leur chapitre « Mystérieux monuments » Baalbeck la libanaise. Baalbeck est aussi mentionnée en page de couverture, représentant une pyramide d’Égypte, sous laquelle figurent les titres suivants : « Le Triangle des Bermudes » – « Les Trésors perdus des Aztèques » – « La Cité perdue de Shambala » – « L’Héliopolis de Baalbeck » – « Le Mystère de Yonaguni » – « Les Prédictions du Titanic ».


Les grands volets développés également dans ce livre passionnant sont : Disparitions – Les Mondes perdus – Histoires de fantômes – Les Pouvoirs paranormaux – Voyants et oracles – Les Phénomènes religieux – Merveilles de la médecine – Malédictions – Étrange nature – Ovni – Les Mystères du cosmos.

Baalbeck, un mystérieux monument
Les constructions antiques de Baalbeck sont citées en premier dans ce chapitre, suivies par les tombes mégalithiques de Newgrange en Irlande, vieilles de 5 000 ans, et la pyramide de Yonaguni, découverte à 30 mètres de profondeur dans la mer du Japon.


En avant-propos, Doncaster et Holland précisent : « La force et la puissance qui se dégagent de beaucoup de monuments anciens sont indéniables. Ils furent élevés afin d’immortaliser un ensemble de croyances, et l’échelle de leur construction démontre l’effort et l’ardeur énormes qui ont présidé à leur réalisation. Certains sont de véritables énigmes, soulevant plus de questions qu’ils n’apportent de réponses et alimentant les controverses depuis des générations. »


« Pourquoi furent-ils bâtis à cet endroit précis ? Pourquoi utilisa-t-on des matériaux de construction si rares ? Peut-être un jour répondrons-nous à toutes ces questions, mais d’ici là, ces monuments restent les signes tangibles des mystères de l’Ancien Monde. »


Les auteurs poursuivent : « À Baalbeck, au Liban, s’élèvent des temples millénaires ayant survécu à de nombreuses civilisations et à autant de cultes religieux. À cause de leur grandeur et de leur incroyable beauté, ils ont été transformés mais jamais détruits. Leur ampleur a toujours intrigué et émerveillé. Aujourd’hui encore, les archéologues du monde entier n’arrivent pas à déterminer comment des structures aussi impressionnantes ont pu être construites il y a si longtemps. »
«Implantation phénicienne à l’origine, Baalbeck devint successivement cité grecque, romaine, byzantine et enfin arabe au hasard de multiples conquêtes... La tradition phénicienne demandait que le podium du temple fût constitué d’au moins trois couches de pierres. Cela explique la taille incroyable de ces dernières, les plus grandes du monde. Lorsqu’il fallut agrandir le temple, les architectes de l’époque prirent conscience qu’ils allaient devoir travailler à une échelle encore jamais imaginée. Sans être le moins du monde découragés par l’ampleur de la tâche, ils commandèrent la taille de ce qui s’avéra être de colossaux blocs provenant de roches dures, les plus grandes du monde, comme le “bloc de la femme enceinte” avec ses 1 000 tonnes, qui mettrait au défi nos grues actuelles les plus puissantes... »


« Le fait que ces blocs de pierre aient été transportés depuis leur carrière sur plus d’un kilomètre puis mis debout jusqu’à une hauteur pouvant atteindre sept mètres reste énigmatique. Mais un autre mystère leur est encore attaché : la connaissance technique nécessaire à une construction de cette ampleur. L’agencement des pierres n’a exigé en effet aucun mortier et il est impossible de glisser le moindre petit objet entre elles. L’échelle des constructions de Baalbeck a tellement excité l’imagination du commun des mortels que chacune des civilisations à avoir occupé le site par la suite a associé le trilithon et ses trois blocs de pierre les plus grands avec un mythe populaire : œuvre de géants, de figures bibliques ou même d’extraterrestres... »

Des larmes de cristal
Toujours à propos du Liban, « Les Plus grands phénomènes inexpliqués » raconte, dans son volet sur les phénomènes religieux, sous le titre « Maitreya et les larmes de cristal », l’histoire de la petite Libanaise de 12 ans, Hasnah Meselmani : « En 1996, un événement incroyable, qui défiait toutes les explications médicales, stupéfia le monde. Comme si ce n’était pas assez, il s’accompagnait de nombreuses visions mystiques de Maitreya, un maître et un sauveur de l’humanité... ». Nous laisserons au lecteur le soin de découvrir ce conte merveilleux au centre duquel se trouve Hasnah, qui, durant huit mois, pleurait plusieurs fois par jour des larmes de cristal assez tranchantes pour couper du papier, sans pourtant que cela lui fasse mal. Une bien étrange terre que celle du Liban.

Les Plus grands phénomènes inexpliqués, publié aux éditions Original Books en 2011, est la traduction du livre Greatest Mysteries of the Unexplained (éditions Arcturus Publishing Limited, Londres, 2005).
Les auteurs, Lucy Doncaster et Andrew Holland, citent dans leur chapitre « Mystérieux monuments » Baalbeck la libanaise. Baalbeck est aussi mentionnée en page de couverture,...