La situation sécuritaire au Liban-Sud a fait l’objet hier d’une réunion qui a regroupé les responsables du mouvement Amal et du Hezbollah à Tyr.
Dans un communiqué conjoint, les participants ont exprimé leur attachement au rôle de la Finul, notamment au « soutien qu’elle assure à l’armée libanaise conformément à la résolution 1701 ».
Évoquant l’explosion qui a visé les Casques bleus français et le tir de roquette qui s’est échoué dans un village du Liban-Sud, les deux mouvements chiites ont condamné ces incidents qu’ils ont qualifiés de « douteux », exhortant les forces de l’ordre et la justice d’accélérer l’enquête pour mettre la main sur les responsables.
« Alors que la région passe par une série de changements difficiles qui sont la résultante de données multiples et d’interférences internationales visant à reconstituer la géopolitique de la région et à définir des politiques en vue d’intérêts coloniaux (...), certains continuent au Liban de souscrire aux desiderata de l’extérieur et à poursuivre leurs projets douteux pour arriver au pouvoir », précise le communiqué qui souligne que ces derniers jouent sur « la peur et la tension en s’adressant aux instincts et à tout ce qui divise les Libanais ».
Et d’ajouter en substance qu’entre-temps, c’est la sécurité au Liban-Sud qui prend un coup, « que ce soit par le biais de l’attentat contre la Finul ou les tirs de roquettes dont les objectifs sont connus et qui visent à s’en prendre à la résistance et à la stabilité ».
Le texte dénonce au passage les opérations d’espionnage des services de renseignements américains menées en territoire libanais et qui prennent ,selon Amal et le Hezbollah, le Liban en otage en le maintenant dans une crise perpétuelle.
Dans un communiqué conjoint, les participants ont exprimé leur attachement au rôle de la Finul, notamment au « soutien qu’elle assure à l’armée libanaise conformément à la résolution 1701 ».
Évoquant l’explosion qui a visé les Casques bleus français et le tir de roquette qui s’est échoué dans un village du Liban-Sud, les deux mouvements chiites ont condamné ces incidents qu’ils ont qualifiés de « douteux », exhortant les forces de l’ordre et la justice d’accélérer l’enquête pour mettre la main sur les responsables.
« Alors que la région passe par une série de changements difficiles qui sont la résultante de données multiples et d’interférences internationales visant à reconstituer la géopolitique de la région et à définir des politiques en vue d’intérêts coloniaux (...), certains continuent au Liban de souscrire aux desiderata de l’extérieur et à poursuivre leurs projets douteux pour arriver au pouvoir », précise le communiqué qui souligne que ces derniers jouent sur « la peur et la tension en s’adressant aux instincts et à tout ce qui divise les Libanais ».
Et d’ajouter en substance qu’entre-temps, c’est la sécurité au Liban-Sud qui prend un coup, « que ce soit par le biais de l’attentat contre la Finul ou les tirs de roquettes dont les objectifs sont connus et qui visent à s’en prendre à la résistance et à la stabilité ».
Le texte dénonce au passage les opérations d’espionnage des services de renseignements américains menées en territoire libanais et qui prennent ,selon Amal et le Hezbollah, le Liban en otage en le maintenant dans une crise perpétuelle.
La situation sécuritaire au Liban-Sud a fait l’objet hier d’une réunion qui a regroupé les responsables du mouvement Amal et du Hezbollah à Tyr. Dans un communiqué conjoint, les participants ont exprimé leur attachement au rôle de la Finul, notamment au « soutien qu’elle assure à l’armée libanaise conformément à la résolution 1701 ». Évoquant l’explosion qui a visé les...
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