Les marchés ont de nouveau cédé à la panique hier face aux craintes d’une sortie de la Grèce de la zone euro et d’une contagion de la crise de la dette à l’Italie et à l’Espagne. Reuters/Olivia Harris
Les Bourses mondiales ont chuté hier, sonnées par l’annonce surprise d’un référendum en Grèce sur l’accord de désendettement, moins d’une semaine après sa conclusion par les pays de la zone euro. Avec cette annonce, Athènes a balayé d’un seul coup toutes les avancées difficilement conclues lors du Sommet de Bruxelles la semaine dernière, soulignait-on dans les salles de marché.
Les Bourses mondiales ont chuté hier, sonnées par l’annonce surprise d’un référendum en Grèce sur l’accord de désendettement, moins d’une semaine après sa conclusion par les pays de la zone euro. Avec cette annonce, Athènes a balayé d’un seul coup toutes les avancées difficilement conclues lors du Sommet de Bruxelles la semaine dernière, soulignait-on dans les salles de...
Fausse estimation l'ami. Ceux qui sont responsables pour ce qui arrive aujourd'hui en Grèce, ce sont ceux qui ont accepté l'entrée de la Grèce dans la zone EURO. L'Angleterre et la Suède n'y sont pas entrés. Un pays, comme la Grèce, à l'industrie aux pieds d'argile, au commerce latent, un pays, presque uniquement touristique, bon marché avec sa drachme, aurait-il dû être admis dans la zone euro et devenir le partenaire de la très puissante industrie allemande et française ? Euro au lieu de la pauvre drachme. Et les coûts industriels en Grèce se sont trouvés dans les nues. Plus d'exportations car on ne pouvait plus concurrencer les produits des pays forts de l'Europe. Et le pays s'est trouvé devenu un pays de consommateurs des grands pays producteurs Européens, comme d'autres paus aussi. D'où la situation actuelle. Les responsables doivent en subir les conséquences et non le peuple Grec. Il ne faut pas leur payer un euro. Il faut leur réclamer des dommages et des intérêts. Anastase Tsiris
09 h 14, le 02 novembre 2011