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Économie - Liban - Finances

La hausse des salaires coûtera 700 millions de dollars par an au Trésor

Selon le ministère des Finances, le total des coûts de la récente décision du gouvernement d’augmenter le salaire minimum et autres prestations coûtera au Trésor 700 millions de dollars par an. Rappelons que le 11 octobre, le Conseil des ministres avait décidé de relever le salaire minimum de 500 000 à 700 000 livres, soit une augmentation de 40 %. Il avait aussi approuvé une hausse des salaires de 200 000 livres pour les salariés qui perçoivent moins d’un million de livres et une augmentation de 300 00 livres pour ceux qui gagnent entre 1 et 1,8 million de livres. Par ailleurs, et comme le montre le graphique, le salaire minium au Liban s’élevait à 275 livres un an avant le déclenchement de la guerre civile, un chiffre qui témoigne de la force de la monnaie libanaise à l’époque, avant les dévaluations successives ayant eu lieu dans les années 80 et 90.
Selon le ministère des Finances, le total des coûts de la récente décision du gouvernement d’augmenter le salaire minimum et autres prestations coûtera au Trésor 700 millions de dollars par an. Rappelons que le 11 octobre, le Conseil des ministres avait décidé de relever le salaire minimum de 500 000 à 700 000 livres, soit une augmentation de 40 %. Il avait aussi approuvé une...
commentaires (2)

Attention aux expérieces européennes, et surtout grecque. Ils ont donné des augmentations déraisonnées, et maintenant ils les ont repris au quadruple. Annulations jusqu'à 40% des salaires. Des montants astronomiques à payer, en cash NOW, sur les mètres carrés des maisons et sur les voitures. Et, des impôts insupportables. Du jour au lendemain les grecs sont devenus des pauvres. Anastase Tsiris

Anastase Tsiris

09 h 15, le 27 octobre 2011

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Commentaires (2)

  • Attention aux expérieces européennes, et surtout grecque. Ils ont donné des augmentations déraisonnées, et maintenant ils les ont repris au quadruple. Annulations jusqu'à 40% des salaires. Des montants astronomiques à payer, en cash NOW, sur les mètres carrés des maisons et sur les voitures. Et, des impôts insupportables. Du jour au lendemain les grecs sont devenus des pauvres. Anastase Tsiris

    Anastase Tsiris

    09 h 15, le 27 octobre 2011

  • Ce graphique ne veut rien dire, il doit être ajusté de la dépréciation de la livre libanaise; c.à.d. être exprimé en monnaie constante!

    Emile Antonios

    21 h 22, le 26 octobre 2011

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