OLJ / le 27 septembre 2011 à 00h38
Un minimum de civisme, ce n'est pas très compliqué. Malheureusement ça ne matche pas avec l'état d'esprit trop individualiste du Libanais, de son égo(ïsme) et de sa supériorité affichée.
Non, pas d'accord, le libanais est propre mais sur sa personne. Rentrez dans la maison du plus pauvre au Liban,elle est propre. Mais c'est sur son palier que commence la salete. Il en ai que nous n'avons pas d'esprit fait pour vivre en societe. Je suis alle en Sicile, la salete suinte les rues , par contre en Corse vous prendrez un plaisir a faire la sieste sur le bas cote de la rue. En Franceil y a 50 a 60ans c'etait le Liban, mais il a fallu une campagne radio televisee intense pour changer les mauvaises habitudes. Le gouvernement devrait l'inscrire en tete de liste de ses preoccupations.
les Libanais sont otu simplement devenus sales...et sans trop d'éducation,à dire vrai!les papiers ne sont pas autogenerés...il faut bien que quelqu'un les jette....et ce quelqu'un c'est nous...dunque,nous sommes devenus sales....
Encore un autre tableau de manque de civisme libanais . Parcmètres payant le matin , vengeance le soir pour jeter ses ordures . Au secours les psychologues. Nazira.A.Sabbagha
Dans mon dernier voyage au Liban, comme aux précédents bien sûr, j'ai vu cette poubelle publique que sont devenues toutes les rues et autostrades du Liban. Si chaque municipalité faisait son travail, on ne verrait pas ces ordures tout au long des chemins. Belles photos que les touristes prendraient avec eux comme souvenir du Liban. Boycottez les muncipalités ! Changez tous les employés, s'il le faut ! Anastase Tsiris
Ce n'est pas la rue Mar Elias seule qui se tranforme en décharge publique mais "presque" TOUT le Liban. Il faut être honnête et le dire franchement: le libanais est sale et paresseux, il lui suffit de faire, des fois, deux pas pour jeter son sac de poubelle. Pauvre Pays!
Un minimum de civisme, ce n'est pas très compliqué. Malheureusement ça ne matche pas avec l'état d'esprit trop individualiste du Libanais, de son égo(ïsme) et de sa supériorité affichée.
11 h 51, le 28 septembre 2011