« Le jardin d’Agathe » de Caroline Lejeune.
Rima Amyuni explore les nuances du vert dans son Nymphéas datant de 1998. Youssef Aoun traverse sa grande toile blanche par une dégringolade de tonalités terriennes et chaudes. Pascal Courcelles « révèle une rencontre nocturne entre deux arbres, des étoiles, la crête d’une montagne et la peinture ».
L’acrylique sur toile de Patrice Giorda, intitulée Le confluent, illustre la rencontre entre deux êtres, entre ciel et mer. Fadia Haddad croque un oiseau chuchotant à un masque.
Houda Kassatly immortalise les immeubles en voie de destruction, épargnés par la guerre mais non par les pelleteuses.
La nature, chez Caroline Lejeune, est en noir et blanc. Côté photos, Roger Moukarzel présente un portrait d’un personnage « homme-femme vêtu d’une nuit étoilée ».
En sculpture, une mécanique de Boulos Richa, un grand guerrier de Tanbak, les aciers brossés de Jean-Bernard Susperregui et l’haricot grimpant de Luciano Zanoni.
* Achrafieh, place Sassine, imm. Karam, premier étage. Jusqu’au 21 octobre. Tél. 01/204 984.