Mansour appelle de nouveau à « aider » Assad à asseoir les réformes
OLJ /
le 23 septembre 2011 à 01h24
Le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, a multiplié à New York hier, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, les entretiens bilatéraux. Il a ainsi conféré tour à tour avec son homologue iranien, Ali Akbar Salihi, avec lequel il s’est arrêté sur la situation dans la région, puis avec son homologue portugais Paulo Sacadura Portas. Avec ce dernier, dont le pays est comme le Liban membre non permanent du Conseil de sécurité, Adnane Mansour a évoqué la situation dans les territoires palestiniens et en Syrie, « où les autorités doivent être aidées à installer les réformes demandées, surtout que le président Assad s’est déclaré très positif à ce sujet ». Enfin, il s’est entretenu avec la chef de la diplomatie espagnole, Trinidad Jiménez. Il en a profité pour remercier l’Espagne et son soutien au Liban, notamment par le biais de la Finul. Enfin, il a rencontré son homologue tunisien. Par ailleurs, Adnane Mansour a représenté le Liban à une conférence de l’ONU sur le racisme, une sorte de Durban III boycotté par les pays occidentaux. « La position du Liban dans le monde arabe et au Proche-Orient en général, ainsi que le message qu’il représente, de par cette mixité entre démocratie et pluralisme religieux, représentent une méthodologie véritablement positive qui contredit toute forme de racisme », a-t-il notamment insisté, rapporte notre correspondant au palais Bustros présent à New York, Khalil Fleyhane.
Le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, a multiplié à New York hier, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, les entretiens bilatéraux.Il a ainsi conféré tour à tour avec son homologue iranien, Ali Akbar Salihi, avec lequel il s’est arrêté sur la situation dans la région, puis avec son homologue portugais Paulo Sacadura Portas. Avec ce dernier, dont le pays est comme le Liban membre non permanent du Conseil de sécurité, Adnane Mansour a évoqué la situation dans les territoires palestiniens et en Syrie, « où les autorités doivent être aidées à installer les réformes demandées, surtout que le président Assad s’est déclaré très positif à ce sujet ». Enfin, il s’est entretenu avec la chef de la diplomatie espagnole, Trinidad Jiménez. Il en a profité pour remercier l’Espagne et...
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