« La chute du régime en Syrie n’est dans l’intérêt ni des chrétiens ni des musulmans. » C’est ce qu’a déclaré hier le chef du Courant patriotique libre dans un entretien accordé à l’Agence United Press International.
Selon lui, la solution violente visant à la chute du régime n’est dans l’intérêt d’aucune des deux confessions principales en Syrie.
« Nous avons soutenu les réformes constitutionnelles en vue de la création d’un climat démocratique libre en Syrie », a ajouté Michel Aoun, qui a salué « la coopération du président Bachar el-Assad » sur ce plan.
Interrogé sur le nouveau rôle de la Turquie dans la région sur le plan des révoltes arabes, le député a affirmé : « C’est une nouvelle tentative de turquisation ou un néo-ottomanisme si l’on veut, sachant que l’empire ottoman s’est effrité après la Seconde Guerre mondiale. Il ne faut pas oublier que ce fut une période sombre par rapport à nous, marquée par la faim, l’esclavage et les persécutions religieuses. »
Selon lui, la politique ottomane a fini par « saboter la coexistence islamo-chrétienne lorsque la Turquie ottomane avait mis la main sur les pays arabes en transférant le califat à Istanbul ».
Évoquant la politique libanaise interne, M. Aoun a affirmé que « si certains participants au gouvernement venaient à adopter une attitude destructrice, je n’objecterai pas un changement de gouvernement ».
Par ailleurs, M. Aoun a reçu le coordinateur des Nations unies au Liban, Michael Williams, venu lui rendre une visite d’adieu à l’approche de la fin de sa mission au Liban.
À l’issue de sa rencontre, M. Williams a tenu à remercier le chef du CPL pour toutes les visites qui ont eu lieu au cours des trois dernières années. Il s’est également dit satisfait que le projet de l’électricité ait fait enfin son chemin vers le Parlement, souhaitant que l’Assemblée puisse également prendre les mesures nécessaires pour mettre en place d’autres réformes, notamment dans le secteur de l’eau. Le diplomate onusien a en outre indiqué avoir évoqué avec le député la situation en Syrie. Il a souhaité que soit mis fin à la violence le plus tôt possible et souligné la nécessité d’opérer des réformes radicales qui, a-t-il dit, vont ramener la stabilité en Syrie.
Selon lui, la solution violente visant à la chute du régime n’est dans l’intérêt d’aucune des deux confessions principales en Syrie.
« Nous avons soutenu les réformes constitutionnelles en vue de la création d’un climat démocratique libre en Syrie », a ajouté Michel Aoun, qui a salué « la coopération du président Bachar el-Assad » sur ce plan.
Interrogé sur le nouveau rôle de la Turquie dans la région sur le plan des révoltes arabes, le député a affirmé : « C’est une nouvelle tentative de turquisation ou un néo-ottomanisme si l’on veut, sachant que l’empire ottoman s’est effrité après la Seconde Guerre mondiale. Il ne faut pas oublier que ce fut une période sombre par rapport à nous, marquée par la faim, l’esclavage et les persécutions religieuses. »
Selon lui, la politique ottomane a fini par « saboter la coexistence islamo-chrétienne lorsque la Turquie ottomane avait mis la main sur les pays arabes en transférant le califat à Istanbul ».
Évoquant la politique libanaise interne, M. Aoun a affirmé que « si certains participants au gouvernement venaient à adopter une attitude destructrice, je n’objecterai pas un changement de gouvernement ».
Par ailleurs, M. Aoun a reçu le coordinateur des Nations unies au Liban, Michael Williams, venu lui rendre une visite d’adieu à l’approche de la fin de sa mission au Liban.
À l’issue de sa rencontre, M. Williams a tenu à remercier le chef du CPL pour toutes les visites qui ont eu lieu au cours des trois dernières années. Il s’est également dit satisfait que le projet de l’électricité ait fait enfin son chemin vers le Parlement, souhaitant que l’Assemblée puisse également prendre les mesures nécessaires pour mettre en place d’autres réformes, notamment dans le secteur de l’eau. Le diplomate onusien a en outre indiqué avoir évoqué avec le député la situation en Syrie. Il a souhaité que soit mis fin à la violence le plus tôt possible et souligné la nécessité d’opérer des réformes radicales qui, a-t-il dit, vont ramener la stabilité en Syrie.
« La chute du régime en Syrie n’est dans l’intérêt ni des chrétiens ni des musulmans. » C’est ce qu’a déclaré hier le chef du Courant patriotique libre dans un entretien accordé à l’Agence United Press International. Selon lui, la solution violente visant à la chute du régime n’est dans l’intérêt d’aucune des deux confessions principales en Syrie. « Nous avons soutenu les réformes constitutionnelles en vue de la création d’un climat démocratique libre en Syrie », a ajouté Michel Aoun, qui a salué « la coopération du président Bachar el-Assad » sur ce plan. Interrogé sur le nouveau rôle de la Turquie dans la région sur le plan des révoltes arabes, le député a affirmé : « C’est une nouvelle tentative de turquisation ou un néo-ottomanisme si l’on veut, sachant que l’empire...
Je m'en suis paye une bonne tranche (de rire )Mr Saleh, avec Christian a la manoeuvre.... Par contre Finkelstein que l'ai lu et entendu est considere en israel comme un antisemite, tout comme tous les juifs deportes et fils de deportes qui critiquent l'etat raciste d'israel. Il faudra surtout les publier librement en dehors d'israel deja.
08 h 30, le 22 septembre 2011