« La réalisation de la paix dans la région est fonction de la détermination des leaders politiques. » C’est ce qu’a déclaré hier le commandant en chef de la Finul, le général Alberto Asarta, à l’occasion de la Journée internationale de la paix.
« Cependant, la paix ne peut être imposée d’en haut, mais elle doit en même temps être soutenue par la base, c’est-à-dire au prix d’efforts déployés par les femmes et les hommes ordinaires », a ajouté le responsable.
S’exprimant lors d’une cérémonie officielle, le général Asarta a tenu à rappeler qu’après l’accroissement des effectifs de la Finul et le déploiement de l’armée libanaise au Liban-Sud en 2006, cette région a connu la plupart du temps un calme jamais expérimenté dans l’histoire récente du pays.
Le général Asarta a par ailleurs reçu la visite du directeur de la Sûreté, le général Abbas Ibrahim, avec lequel il a évoqué des « questions sécuritaires communes relatives à la nature de la mission des Casques bleus et aux mesures susceptibles de faciliter leurs opérations ». Les deux hommes « ont convenu de l’adoption de nouvelles mesures se rapportant au mouvement des forces onusiennes ».
Le général Ibrahim s’était auparavant rendu au siège de la Sûreté générale à Naqoura pour suivre de près les activités de cette instance avant de donner ses directives en matière de respect des lois.
« Cependant, la paix ne peut être imposée d’en haut, mais elle doit en même temps être soutenue par la base, c’est-à-dire au prix d’efforts déployés par les femmes et les hommes ordinaires », a ajouté le responsable.
S’exprimant lors d’une cérémonie officielle, le général Asarta a tenu à rappeler qu’après l’accroissement des effectifs de la Finul et le déploiement de l’armée libanaise au Liban-Sud en 2006, cette région a connu la plupart du temps un calme jamais expérimenté dans l’histoire récente du pays.
Le général Asarta a par ailleurs reçu la visite du directeur de la Sûreté, le général Abbas Ibrahim, avec lequel il a évoqué des « questions sécuritaires communes relatives à la nature de la mission des Casques bleus et aux mesures susceptibles de faciliter leurs opérations ». Les deux hommes « ont convenu de l’adoption de nouvelles mesures se rapportant au mouvement des forces onusiennes ».
Le général Ibrahim s’était auparavant rendu au siège de la Sûreté générale à Naqoura pour suivre de près les activités de cette instance avant de donner ses directives en matière de respect des lois.
« La réalisation de la paix dans la région est fonction de la détermination des leaders politiques. » C’est ce qu’a déclaré hier le commandant en chef de la Finul, le général Alberto Asarta, à l’occasion de la Journée internationale de la paix.« Cependant, la paix ne peut être imposée d’en haut, mais elle doit en même temps être soutenue par la base, c’est-à-dire au prix d’efforts déployés par les femmes et les hommes ordinaires », a ajouté le responsable.S’exprimant lors d’une cérémonie officielle, le général Asarta a tenu à rappeler qu’après l’accroissement des effectifs de la Finul et le déploiement de l’armée libanaise au Liban-Sud en 2006, cette région a connu la plupart du temps un calme jamais expérimenté dans l’histoire récente du pays.Le général Asarta a par ailleurs...