« Le Liban et la Libye se sont entendus pour tenir le 24 novembre à Beyrouth une conférence spéciale visant à encourager les investissements en Libye ; les deux pays veulent insister sur l’importance du travail en commun afin de bâtir un meilleur avenir. »
Ces mots sont ceux du chef de l’État, Michel Sleiman, qui s’exprimait lors de la réunion de haut niveau consacrée à la situation en Libye et qui s’est tenue hier aux Nations unies à New York.
Saluant le « retour » de ce pays « à sa position naturelle au sein de la Ligue arabe et de l’ONU par le truchement du Conseil national de transition (CNT) », Michel Sleiman a invité la communauté internationale à décupler ses efforts afin d’aider le peuple libyen à assurer ses besoins, « notamment via la délégation onusienne dont la mise sur pied a été autorisée par le Conseil de sécurité ».
« Voilà que la Libye vient d’ouvrir une nouvelle page de son histoire, maintenant que le CNT a défini sa vision et affirmé sa détermination à édifier un État démocratique, à rédiger une Constitution qui protégerait les droits et les libertés de tous les Libyens, et à organiser des élections libres et honnêtes », a encore déclaré le locataire de Baabda, appelant pour le court terme à « continuer à protéger les civils, aider le CNT à préserver la sécurité et faciliter l’arrivée de l’aide humanitaire ».
Ces mots sont ceux du chef de l’État, Michel Sleiman, qui s’exprimait lors de la réunion de haut niveau consacrée à la situation en Libye et qui s’est tenue hier aux Nations unies à New York.
Saluant le « retour » de ce pays « à sa position naturelle au sein de la Ligue arabe et de l’ONU par le truchement du Conseil national de transition (CNT) », Michel Sleiman a invité la communauté internationale à décupler ses efforts afin d’aider le peuple libyen à assurer ses besoins, « notamment via la délégation onusienne dont la mise sur pied a été autorisée par le Conseil de sécurité ».
« Voilà que la Libye vient d’ouvrir une nouvelle page de son histoire, maintenant que le CNT a défini sa vision et affirmé sa détermination à édifier un État démocratique, à rédiger une Constitution qui protégerait les droits et les libertés de tous les Libyens, et à organiser des élections libres et honnêtes », a encore déclaré le locataire de Baabda, appelant pour le court terme à « continuer à protéger les civils, aider le CNT à préserver la sécurité et faciliter l’arrivée de l’aide humanitaire ».
« Le Liban et la Libye se sont entendus pour tenir le 24 novembre à Beyrouth une conférence spéciale visant à encourager les investissements en Libye ; les deux pays veulent insister sur l’importance du travail en commun afin de bâtir un meilleur avenir. » Ces mots sont ceux du chef de l’État, Michel Sleiman, qui s’exprimait lors de la réunion de haut niveau consacrée à la situation en Libye et qui s’est tenue hier aux Nations unies à New York. Saluant le « retour » de ce pays « à sa position naturelle au sein de la Ligue arabe et de l’ONU par le truchement du Conseil national de transition (CNT) », Michel Sleiman a invité la communauté internationale à décupler ses efforts afin d’aider le peuple libyen à assurer ses besoins, « notamment via la délégation onusienne dont la mise sur pied a été...
M'sieur le Peésident...je ne doute pas que les Lybiens vous seront reconnaissants d'encourager les investissements chez eux...mais,pssssst,j'ai un secret à vous confier...on peut aussi encourager les investissements dans un pays qui s'appelle le Liban...vous avez bien,le Liban...le pays dont vous êtes,je vous le donne en mille,le Président.A propos,il coûte combien au Liban ce mass déplacement à New York?Je suppose que tout ce petit monde n'est pas allé au motel du coin,et ne s'est pas contenté de manger des hamburgers et d'acheter un Tshirt I love New York?Vous raménerez les fetouras avec vous?Juste au cas où?
07 h 18, le 21 septembre 2011