La police au Bangladesh a arrêté hier plus de 600 membres du plus grand parti islamiste du pays au lendemain de violentes manifestations de militants demandant la libération de plusieurs dirigeants. Trois figures du parti Jamaat-e-islami figurent parmi les personnes arrêtées, a déclaré un responsable de la police, Mahfuzur Rahman. « Elles sont accusées d’actes de vandalisme, de violence, d’incendie de véhicules, d’atteinte à l’ordre public et d’obstruction aux forces de l’ordre », a-t-il précisé.
Parmi les arrestations, 260 se sont produites dans la capitale Dacca, selon le porte-parole de la police de la ville, Masud Ahmad, où des militants du parti islamiste ont affronté lundi des policiers antiémeute et mis le feu à des dizaines de voitures.
Parmi les arrestations, 260 se sont produites dans la capitale Dacca, selon le porte-parole de la police de la ville, Masud Ahmad, où des militants du parti islamiste ont affronté lundi des policiers antiémeute et mis le feu à des dizaines de voitures.
La police au Bangladesh a arrêté hier plus de 600 membres du plus grand parti islamiste du pays au lendemain de violentes manifestations de militants demandant la libération de plusieurs dirigeants. Trois figures du parti Jamaat-e-islami figurent parmi les personnes arrêtées, a déclaré un responsable de la police, Mahfuzur Rahman. « Elles sont accusées d’actes de vandalisme, de violence, d’incendie de véhicules, d’atteinte à l’ordre public et d’obstruction aux forces de l’ordre », a-t-il précisé.
Parmi les arrestations, 260 se sont produites dans la capitale Dacca, selon le porte-parole de la police de la ville, Masud Ahmad, où des militants du parti islamiste ont affronté lundi des policiers antiémeute et mis le feu à des dizaines de voitures.
Parmi les arrestations, 260 se sont produites dans la capitale Dacca, selon le porte-parole de la police de la ville, Masud Ahmad, où des militants du parti islamiste ont affronté lundi des policiers antiémeute et mis le feu à des dizaines de voitures.