Le président français Nicolas Sarkozy a affirmé mardi à l'ONU que depuis le début du XXIe siècle, il n'y avait eu qu'une seule "bonne nouvelle: les révolutions arabes".
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises", a-t-il estimé lors d'un sommet sur la Libye: "Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout, ce ne sont que complications et difficultés". Mais "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes."
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises", a-t-il estimé lors d'un sommet sur la Libye: "Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout, ce ne sont que complications et difficultés". Mais "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes."
Le président français Nicolas Sarkozy a affirmé mardi à l'ONU que depuis le début du XXIe siècle, il n'y avait eu qu'une seule "bonne nouvelle: les révolutions arabes".
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises", a-t-il estimé lors d'un sommet sur la Libye: "Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout, ce ne sont que complications et difficultés". Mais "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes."
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises", a-t-il estimé lors d'un sommet sur la Libye: "Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout, ce ne sont que complications et difficultés". Mais "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes."
