Plus de mille invités, dont le locataire du Sérail Nagib Mikati et son conseiller Joe Issa el-Khoury, le ministre Walid Daouk, Raymond et May Audi, Maurice Sehnaoui, Mimi et Albert Sader, Billy Karam, Nabil et Lynn Kassar, Alia Chaaraoui, Hala Frem, Siham Tuéni, Ambra et Ali Dabbous, Neda Takieddine, Carole et Toni Kareh, Joumana et Henri Asseily, Joe et Hala Saddi, Nicole Gemayel Mecattaf, Randa Bdeir, Hania Rayyess, Bashir et Gracinda Malass, Maroun et Frida Chammas, Jacques Oueiss, Sami Rabbat, Simone Kosromelli, Joumana Jamhoury, May Daouk, sans oublier la grande collectionneuse de foulards H., Frida Debbané, tous ont convergé vers la Résidence des Pins où, l’espace d’un soir, les fulgurances du fils de Zeus, Hermès himself, a embrasé le parc d’une scénographie orange, l’orange unique du soleil et des bonzes, l’orange de ses chars. C’était au somptueux cocktail donné à l’occasion du lancement du carré Hermès « Sous le cèdre du Liban », dont le produit de vente ira au développement des réserves du Chouf et de Tannourine. À l’image de la maison de luxe française, l’ambassadeur Denis Pietton, Michèle Garzouzi et Béatriz Gonzalez-Cristobal-Poyo, directrice générale commerciale d’Hermès international, ont fait les choses en grand et les invités – abordés par des magiciens qui offraient roses et échantillons de parfum – n’étaient pas en reste. Une bonne majorité faisait étalage de sac, de ceinture, d’un top, d’une robe, ou d’une cravate Hermès. C’était so class ! Un jour, lorsqu’il y aura manif de nouveau, le carré de soie servira d’étendard ! Ce sera le drapeau autrement.
Le gâteau de l’École
Le soir même, après le lancement du fameux carré H, notre frenchy ambassador, l’infatigable Denis Pietton, s’est rendu à l’ESA, rue Clemenceau, où le directeur général Stéphane Attali offrait un dîner pour célébrer les 15 ans de l’École supérieure des affaires, en présence d’une brochette de personnalités, d’anciens étudiants et d’amis, dont la princesse de Lobckowicz, le vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris, le directeur des Ressources hydrauliques Fadi Komair, le président de la CCI de Beyrouth Mohammad Choucair, le consul de Finlande et chairman of the board de Château Ksara Zafer Chaoui (sans Tonia, à Boston), Bernard et Zeina Bridi, Khalil et Aline Fattal, Moustapha el-Assaad, Maya et Razek Maamarbachi, Gaby et François Abi Saab, magnifiquement en verve ce soir-là, racontait à ses voisins de table les 18 ans de sa vie passés sur ce site magnifique, autrefois siège de l’ambassade de France. Il a toutefois prêté une oreille attentive au discours de Stéphane Attali, qui a rappelé la volonté et le dynamisme de l’ancien ambassadeur Lafon, le rôle de la BDL et de son gouverneur Riad Salamé, pour la mise en œuvre du projet de l’ESA, inauguré par les présidents Jacques Chirac et Rafic Hariri.
Embastillez-moi pour 10 ans encore !
On aurait dit la prise de la Bastille, tellement l’ambiance était survoltée ! Le champagne, le vin et autres boissons coulaient à flots, les DJ se relayaient enflammant le parterre, et les jeunes qui faisaient un tohu-bohu de tonnerre, sortant et rentrant comme dans un moulin. Pour célébrer les dix ans de La Centrale, cinq cent invités étaient au rendez-vous, prenant d’assaut la salle du restaurant transformée pour l’occasion en un immense bar en forme d’O. Plus au calme, Amine Mrad, Jacques Sehnaoui, Gaby et Lara Chekerjian, Léna Gharios, Talal Ghali, Dany Rahmé, René Azar, Rami Debbas, Jef et Samar Khawam, Asma Zeeni, Bassam Daher, et beaucoup d’autres ont opté pour le jardin où leur a été servi un délicieux menu (queue de langouste, filet, salade d’artichauts et tartelette). Like an old scotch : it matures, it doesn’t get old – c’est ça La Centrale !
Marathonienne May
Le mot a été donné : Party non stop... On aurait dit surtout un marathon dance, genre Jeux olympiques ! Dans leur chalet à Ouyoun el-Simane, May et Fayçal el-Khalil en ont donné le coup d’envoi dès 20 heures... jusqu’à l’aube. Au rythme d’un DJ chaussé de grosses lunettes colorées, c’était à celui parmi les couples qui était capable de durer le plus longtemps sur la piste : de Maxime Chaia et Marie Gharzouzi ou Ahmad et Sherine Tayyeb ? Maha et Talal Shaer ou Lisa et Charles Abou Adal ? Ghada et Alain Faloughi, Aline et Bassam Nassar, Jacques Sehnaoui, Tania et Malek Abi Nader, Hania Rayyess, Elia et Claude Samaha, Joumana et Fadi Eid, Dani et Maya Richa, Victor Saad (interprétant une folle dabké de Baalbeck), la ravissante Mira Abou Dargham, Fadi Fawaz, Dory Hitti, Nayla Arab, Robert Wehbé, etc. On n’a pas la fin de l’histoire. Mais avant de quitter chacun a emporté sa photo tirée par un service express. C’est le côté marathonien de May el-Khalil : aller toujours plus vite...
ditavonbliss@hotmail.com
Le carre Hermes Pourquoi seulement les reserves du Chouf & de Tannourine benificient-ils du developpement ?... Les Cedres de Becharre n'en valent-ils pas la peine?? Ca doit etre que, considerant que nous avons des leaders politiques exceptionnels dans la region, nous etions au dessus de la melee... Alors que ce n'est pas du tout le cas! Il y a maldone...
23 h 58, le 19 septembre 2011