Les Etats-Unis sont engagés dans un effort de "diplomatie extrêmement intensive" pour tenter d'éviter une confrontation autour d'une demande d'adhésion d'un Etat de Palestine à l'ONU, a déclaré lundi à New York la secrétaire d'Etat Hillary Clinton.
"La seule voie vers une solution à deux Etats, que nous soutenons et voulons voir aboutir, est celle des négociations", a réitéré la chef de la diplomatie américaine avant un entretien avec son homologue japonais Koichiro Gemba.
"Quoi qu'il advienne ou pas cette semaine, cela ne produira pas le type de résulats que tout le monde espère", a-t-elle poursuivi dans une allusion au projet que les Palestiniens veulent déposer vendredi.
"Nous allons donc rester très engagés, très concentrés. Il est encore tôt dans la semaine (...) Nous allons continuer à travailler", a-t-elle insisté.
L'assemblée générale de l'ONU est le théâtre d'échanges diplomatiques en tout sens depuis plusieurs jours pour éviter une confrontation majeure.
Mme Clinton devait notamment s'entretenir une énième fois lundi avec Catherine Ashton, la représentante de la diplomatie de l'Union européenne.
Israël est hostile à la démarche qualifiée "d'unilatérale" des Palestiniens, tout comme les Etats-Unis, parrains du processus de paix depuis des décennies, qui ont annoncé qu'ils opposeraient leur veto à la demande du président Mahmoud Abbas si celui-ci choisit de s'adresser au Conseil de sécurité.
De nombreux analystes redoutent que ce bras de fer diplomatique ne dégénère en affrontements sur le terrain. Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a lui-même dit craindre "une explosion de violence" dans la région.
"La seule voie vers une solution à deux Etats, que nous soutenons et voulons voir aboutir, est celle des négociations", a réitéré la chef de la diplomatie américaine avant un entretien avec son homologue japonais Koichiro Gemba.
"Quoi qu'il advienne ou pas cette semaine, cela ne produira pas le type de résulats que tout le monde espère", a-t-elle poursuivi dans une allusion au projet que les Palestiniens veulent déposer vendredi.
"Nous allons donc rester très engagés, très concentrés. Il est encore tôt dans la semaine (...) Nous allons continuer à travailler", a-t-elle insisté.
L'assemblée générale de l'ONU est le théâtre d'échanges diplomatiques en tout sens depuis plusieurs jours pour éviter une confrontation majeure.
Mme Clinton devait notamment s'entretenir une énième fois lundi avec Catherine Ashton, la représentante de la diplomatie de l'Union européenne.
Israël est hostile à la démarche qualifiée "d'unilatérale" des Palestiniens, tout comme les Etats-Unis, parrains du processus de paix depuis des décennies, qui ont annoncé qu'ils opposeraient leur veto à la demande du président Mahmoud Abbas si celui-ci choisit de s'adresser au Conseil de sécurité.
De nombreux analystes redoutent que ce bras de fer diplomatique ne dégénère en affrontements sur le terrain. Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a lui-même dit craindre "une explosion de violence" dans la région.
Les Etats-Unis sont engagés dans un effort de "diplomatie extrêmement intensive" pour tenter d'éviter une confrontation autour d'une demande d'adhésion d'un Etat de Palestine à l'ONU, a déclaré lundi à New York la secrétaire d'Etat Hillary Clinton."La seule voie vers une solution à deux Etats, que nous soutenons et voulons voir aboutir, est celle des négociations", a réitéré la chef de la diplomatie américaine avant un entretien avec son homologue japonais Koichiro Gemba."Quoi qu'il advienne ou pas cette semaine, cela ne produira pas le type de résulats que tout le monde espère", a-t-elle poursuivi dans une allusion au projet que les Palestiniens veulent déposer vendredi."Nous allons donc rester très engagés, très concentrés. Il est encore tôt dans la semaine (...) Nous allons continuer à travailler", a-t-elle...