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Liban

Pharaon : Je m’attendais de sa part à des éclaircissements

« J’attendais de sa part à des éclaircissements parce que, dans le passé, les positions de Mgr Raï à propos des armes (NDLR : du Hezbollah) étaient très claires : il les avait qualifiées d’illégales tant qu’elles n’étaient pas sous le contrôle des autorités politiques et il avait émis des réserves sur le paragraphe dans la déclaration ministérielle lié à ces armes, au peuple et à la résistance. »
Ces mots sont ceux du député Michel Pharaon, qui a évoqué les « appréhensions » des chrétiens, jugeant que le rôle du patriarche maronite est de « se faire l’écho » de ces appréhensions, qui « ne sont pas les mêmes au Liban et en Syrie. La prise permanente de contact est importante lorsque les sujets sont liés à l’intérêt supérieur de la nation », a-t-il précisé.
Au sujet de l’électricité, Michel Pharaon a critiqué les « généralités » auxquelles se limite le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, Gebran Bassil, lui demandant de « rendre publics, auprès de l’opinion publique, du Parlement et du gouvernement, tous les détails du projet, qui dépasse le cadre de la politique : l’honnêteté est requise de tous, et les points d’interrogation concernent des centaines de millions de dollars. Nous avons des propositions qui continuent d’arriver, d’Irak notamment, avec des coûts de 600 000 dollars pour les mégawatts, ainsi que des offres beaucoup moins élevées qu’il est important de débattre », a-t-il encore dit.
Sur le dossier palestinien et la demande d’adhésion d’un État à l’ONU, Michel Pharaon a rappelé que tant qu’aucun accord n’intervient entre Israéliens et Palestiniens, « l’État restera assiégé ». Il n’empêche, il a retenu, en cas de victoire, une « grande importance psychologique. Surtout que si le résultat est simplement une Palestine État observateur, cela entraînera une série de protestations à l’intérieur même des territoires palestiniens », a-t-il mis en garde.
Enfin, le député de Beyrouth a relevé que la Syrie se dirige vers « un conflit armé ».
« J’attendais de sa part à des éclaircissements parce que, dans le passé, les positions de Mgr Raï à propos des armes (NDLR : du Hezbollah) étaient très claires : il les avait qualifiées d’illégales tant qu’elles n’étaient pas sous le contrôle des autorités politiques et il avait émis des réserves sur le paragraphe dans la déclaration ministérielle lié à ces armes, au peuple et à la résistance. » Ces mots sont ceux du député Michel Pharaon, qui a évoqué les « appréhensions » des chrétiens, jugeant que le rôle du patriarche maronite est de « se faire l’écho » de ces appréhensions, qui « ne sont pas les mêmes au Liban et en Syrie. La prise permanente de contact est importante lorsque les sujets sont liés à l’intérêt supérieur de la nation », a-t-il précisé.Au sujet de...
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