Le débat de l’Assemblée générale de l’ONU auquel participeront 121 chefs d’État et de gouvernement ouvrira ses travaux le mercredi 21 septembre et s’achèvera le vendredi 30 septembre. Cette 66e session est placée sous la présidence de Nassir Abdelaziz al-Nasser, ancien représentant permanent du Qatar auprès de l’ONU. À cette occasion, le président Michel Sleiman, qui est attendu à New York du 19 au 23 septembre, prononcera le mot du Liban devant l’Assemblée générale le 21 septembre.
Ce débat tombe « à un moment critique de l’histoire des nations. Les peuples du monde mettent leurs systèmes de gouvernance en question et ils n’ont plus peur de demander ce qu’ils méritent et recherchent activement le changement. L’environnement réagit aux mauvais traitements que lui inflige l’homme avec un nombre apparemment interminable de catastrophes et de crises humanitaires. L’économie mondiale fait face à la plus grave crise financière depuis la grande dépression, ce qui menace les efforts globaux pour promouvoir la croissance et la prospérité. Les peuples opprimés et ceux qui vivent sous occupation étrangère aspirent à la liberté. Un monde interdépendant et interconnecté nous oblige à repenser la façon dont nous travaillons ensemble aux Nations unies », avait déclaré mardi M. Nasser dans son discours à la tribune de l’Assemblée générale où il a présenté les quatre priorités de son mandat.
Place de choix du Liban
Le Liban occupe cette année une place de choix. Le président Sleiman sera accompagné de son épouse et d’une délégation composée notamment des ministres des Affaires étrangères Adnane Mansour, de l’Environnement Nazem Khoury et des Affaires sociales Waël Bou Faour. Il sera le huitième à prendre la parole à la tribune de l’Assemblée générale, le 21 septembre, après le Brésil, les États-Unis, le Qatar, le Mexique, la Russie, la France et l’Argentine. Le 22 septembre, le chef de l’État rencontrera le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, puis présidera le débat thématique du Conseil de sécurité sur la diplomatie préventive. « C’est à l’initiative du Liban que ce débat aura lieu », avait indiqué le secrétaire général adjoint pour les Affaires politiques de l’ONU, B. Lynn Pascoe, lors d’une conférence de presse, à l’occasion de la publication du rapport intitulé « Les fruits de la diplomatie préventive » dédié à la mémoire de l’ancien secrétaire général Dag Hammarskjöld, à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort en 1961. Ce rapport fera l’objet des discussions du Conseil que présidera Michel Sleiman. L’Assemblée générale de l’ONU offre un forum multilatéral de discussion unique sur tout l’éventail des questions internationales. C’est dans ce cadre que les rencontres bilatérales du chef de l’État auront lieu du 20 au 23 septembre.
Le programme du président Sleiman à New York continue d’être peaufiné. Il assistera aussi au déjeuner traditionnel qui sera donné par Ban Ki-moon en l’honneur des dirigeants mondiaux au siège des Nations unies, le 21 septembre. Le soir, le président libanais prendra part à la réception offerte par son homologue américain Barack Obama en l’honneur des chefs d’État et de gouvernement. Le 22 septembre, il assistera à la réception organisée en son honneur par Nawaf et Sahar Salam, le représentant du Liban auprès de l’ONU et son épouse, à leur résidence, où seront conviés la communauté onusienne et les diplomates accrédités aux Nations unies, pour marquer la présidence par le Liban du Conseil de sécurité.
Rencontre Ban-Mikati à New York
Par ailleurs, « le Premier ministre Nagib Mikati est attendu à son tour à New York le 25 septembre. Le 27 septembre, il présidera la séance du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient. Le soir, il prendra part à la réception organisée en son honneur par l’ambassadeur Nawaf Salam et son épouse à leur résidence. M. Mikati s’entretiendra avec Ban Ki-moon au siège de l’ONU et rencontrera des membres du Conseil de sécurité », a précisé à L’Orient-Le Jour l’ambassadeur Salam.
Lors de cette session, l’Assemblée abordera plusieurs questions-clés, notamment les objectifs du millénaire pour le développement, le changement climatique et le développement durable, la sécurité alimentaire, le rôle de la médiation dans le règlement des conflits par des moyens pacifiques, la reconstruction et le renforcement des États fragiles ou qui sortent d’un conflit, le désarmement, la réforme de l’ONU, notamment la réforme du Conseil de sécurité et la revitalisation des travaux de l’Assemblée générale, ainsi que la réaffirmation du rôle central de l’Organisation dans la gouvernance mondiale. Enfin, comme le secrétaire général l’a rappelé jeudi, une réunion de haut niveau sur la sûreté et la sécurité nucléaires se tiendra mercredi prochain.
Ce débat tombe « à un moment critique de l’histoire des nations. Les peuples du monde mettent leurs systèmes de gouvernance en question et ils n’ont plus peur de demander ce qu’ils méritent et recherchent activement le changement. L’environnement réagit aux mauvais traitements que lui inflige l’homme avec un nombre apparemment interminable de catastrophes et de crises humanitaires. L’économie mondiale fait face à la plus grave crise financière depuis la grande dépression, ce qui menace les efforts globaux pour promouvoir la croissance et la prospérité. Les peuples opprimés et ceux qui vivent sous occupation étrangère aspirent à la liberté. Un monde interdépendant et interconnecté nous oblige à repenser la façon dont nous travaillons ensemble aux Nations unies », avait déclaré mardi M. Nasser dans son discours à la tribune de l’Assemblée générale où il a présenté les quatre priorités de son mandat.
Place de choix du Liban
Le Liban occupe cette année une place de choix. Le président Sleiman sera accompagné de son épouse et d’une délégation composée notamment des ministres des Affaires étrangères Adnane Mansour, de l’Environnement Nazem Khoury et des Affaires sociales Waël Bou Faour. Il sera le huitième à prendre la parole à la tribune de l’Assemblée générale, le 21 septembre, après le Brésil, les États-Unis, le Qatar, le Mexique, la Russie, la France et l’Argentine. Le 22 septembre, le chef de l’État rencontrera le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, puis présidera le débat thématique du Conseil de sécurité sur la diplomatie préventive. « C’est à l’initiative du Liban que ce débat aura lieu », avait indiqué le secrétaire général adjoint pour les Affaires politiques de l’ONU, B. Lynn Pascoe, lors d’une conférence de presse, à l’occasion de la publication du rapport intitulé « Les fruits de la diplomatie préventive » dédié à la mémoire de l’ancien secrétaire général Dag Hammarskjöld, à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort en 1961. Ce rapport fera l’objet des discussions du Conseil que présidera Michel Sleiman. L’Assemblée générale de l’ONU offre un forum multilatéral de discussion unique sur tout l’éventail des questions internationales. C’est dans ce cadre que les rencontres bilatérales du chef de l’État auront lieu du 20 au 23 septembre.
Le programme du président Sleiman à New York continue d’être peaufiné. Il assistera aussi au déjeuner traditionnel qui sera donné par Ban Ki-moon en l’honneur des dirigeants mondiaux au siège des Nations unies, le 21 septembre. Le soir, le président libanais prendra part à la réception offerte par son homologue américain Barack Obama en l’honneur des chefs d’État et de gouvernement. Le 22 septembre, il assistera à la réception organisée en son honneur par Nawaf et Sahar Salam, le représentant du Liban auprès de l’ONU et son épouse, à leur résidence, où seront conviés la communauté onusienne et les diplomates accrédités aux Nations unies, pour marquer la présidence par le Liban du Conseil de sécurité.
Rencontre Ban-Mikati à New York
Par ailleurs, « le Premier ministre Nagib Mikati est attendu à son tour à New York le 25 septembre. Le 27 septembre, il présidera la séance du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient. Le soir, il prendra part à la réception organisée en son honneur par l’ambassadeur Nawaf Salam et son épouse à leur résidence. M. Mikati s’entretiendra avec Ban Ki-moon au siège de l’ONU et rencontrera des membres du Conseil de sécurité », a précisé à L’Orient-Le Jour l’ambassadeur Salam.
Lors de cette session, l’Assemblée abordera plusieurs questions-clés, notamment les objectifs du millénaire pour le développement, le changement climatique et le développement durable, la sécurité alimentaire, le rôle de la médiation dans le règlement des conflits par des moyens pacifiques, la reconstruction et le renforcement des États fragiles ou qui sortent d’un conflit, le désarmement, la réforme de l’ONU, notamment la réforme du Conseil de sécurité et la revitalisation des travaux de l’Assemblée générale, ainsi que la réaffirmation du rôle central de l’Organisation dans la gouvernance mondiale. Enfin, comme le secrétaire général l’a rappelé jeudi, une réunion de haut niveau sur la sûreté et la sécurité nucléaires se tiendra mercredi prochain.
Le débat de l’Assemblée générale de l’ONU auquel participeront 121 chefs d’État et de gouvernement ouvrira ses travaux le mercredi 21 septembre et s’achèvera le vendredi 30 septembre. Cette 66e session est placée sous la présidence de Nassir Abdelaziz al-Nasser, ancien représentant permanent du Qatar auprès de l’ONU. À cette occasion, le président Michel Sleiman, qui est attendu à New York du 19 au 23 septembre, prononcera le mot du Liban devant l’Assemblée générale le 21 septembre.Ce débat tombe « à un moment critique de l’histoire des nations. Les peuples du monde mettent leurs systèmes de gouvernance en question et ils n’ont plus peur de demander ce qu’ils méritent et recherchent activement le changement. L’environnement réagit aux mauvais traitements que lui inflige l’homme avec un nombre...
