Le président de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Ghassan Ghosn, a débuté hier ses rencontres avec les politiques dans l’objectif de faire pression sur les décideurs en vue de la hausse des salaires et l’ajustement des droits et acquis sociaux. M. Ghosn s’est ainsi rendu chez le ministre de l’Économie Nicolas Nahas à qui il a souligné que la CGTL avait entamé un cycle de rencontres qui durera un mois, durant lequel les syndicats « espèrent établir un véritable dialogue avec les responsables afin d’aboutir à un accord sur la hausse des salaires et l’ajustement des cotisations sociales ».
« Les deux principales revendications des syndicats sont, d’une part, la hausse des salaires et, d’autre part, le réajustement des prestations sociales comme les indemnités de transport, la Sécurité sociale et autres droits sociaux », a ajouté M. Ghosn. Ce dernier a d’ailleurs justifié la demande des syndicats de relever le salaire minimum en expliquant que cette hausse contribuerait à soutenir les ménages pour le paiement des factures exorbitantes d’électricité, d’eau, de transport et d’éducation, entre autres.
Parallèlement, M. Ghosn est revenu sur l’affaire de l’inflation galopante et de la nécessité de plafonner les profits surtout pour les produits alimentaires et les biens de première nécessité. À cet égard, le président de la CGTL a demandé la réactivation de la loi selon laquelle les profits sur les denrées de première nécessité devaient être plafonnés à 27 %. Cette loi avait été annulée sous le mandat de l’ancien ministre Sami Haddad.
Ghassan Ghosn a également insisté sur l’urgence de s’atteler à réduire les coûts de l’éducation et de soutenir les écoles publiques.
En parallèle, le président de la CGTL s’est rendu chez le vice-Premier ministre Samir Mokbel avec qui il s’est également entretenu de la hausse des salaires et des aides sociales. À l’issue de sa rencontre, Ghassan Ghosn a indiqué qu’il poursuivra ses visites auprès des responsables dans le but d’établir des lignes de communication entre les travailleurs et les responsables.
« Les deux principales revendications des syndicats sont, d’une part, la hausse des salaires et, d’autre part, le réajustement des prestations sociales comme les indemnités de transport, la Sécurité sociale et autres droits sociaux », a ajouté M. Ghosn. Ce dernier a d’ailleurs justifié la demande des syndicats de relever le salaire minimum en expliquant que cette hausse contribuerait à soutenir les ménages pour le paiement des factures exorbitantes d’électricité, d’eau, de transport et d’éducation, entre autres.
Parallèlement, M. Ghosn est revenu sur l’affaire de l’inflation galopante et de la nécessité de plafonner les profits surtout pour les produits alimentaires et les biens de première nécessité. À cet égard, le président de la CGTL a demandé la réactivation de la loi selon laquelle les profits sur les denrées de première nécessité devaient être plafonnés à 27 %. Cette loi avait été annulée sous le mandat de l’ancien ministre Sami Haddad.
Ghassan Ghosn a également insisté sur l’urgence de s’atteler à réduire les coûts de l’éducation et de soutenir les écoles publiques.
En parallèle, le président de la CGTL s’est rendu chez le vice-Premier ministre Samir Mokbel avec qui il s’est également entretenu de la hausse des salaires et des aides sociales. À l’issue de sa rencontre, Ghassan Ghosn a indiqué qu’il poursuivra ses visites auprès des responsables dans le but d’établir des lignes de communication entre les travailleurs et les responsables.
Le président de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Ghassan Ghosn, a débuté hier ses rencontres avec les politiques dans l’objectif de faire pression sur les décideurs en vue de la hausse des salaires et l’ajustement des droits et acquis sociaux. M. Ghosn s’est ainsi rendu chez le ministre de l’Économie Nicolas Nahas à qui il a souligné que la CGTL avait entamé un cycle de rencontres qui durera un mois, durant lequel les syndicats « espèrent établir un véritable dialogue avec les responsables afin d’aboutir à un accord sur la hausse des salaires et l’ajustement des cotisations sociales ». « Les deux principales revendications des syndicats sont, d’une part, la hausse des salaires et, d’autre part, le réajustement des prestations sociales comme les indemnités de transport, la...
