Guéant nie avoir dirigé un « cabinet noir » à l’Élysée
OLJ /
le 17 septembre 2011 à 00h27
Claude Guéant nie avoir dirigé une cellule clandestine à l’Élysée chargée de museler la presse et de parer aux dangers suscités par certaines enquêtes judiciaires. Dans un entretien à Libération, il assume par ailleurs ses relations avec trois hommes d’affaires présentés comme spécialistes de la corruption, Robert Bourgi, Alexandre Djouhri et Ziad Takieddine, qu’il dit fréquenter uniquement pour leurs avis judicieux. Il admet avoir réuni, quand il était secrétaire général de l’Élysée de mai 2007 à février 2011, des personnalités pour faire face aux accusations portées contre le parti majoritaire et Nicolas Sarkozy dans l’enquête visant l’héritière de L’Oréal, Liliane Bettencourt.
Claude Guéant nie avoir dirigé une cellule clandestine à l’Élysée chargée de museler la presse et de parer aux dangers suscités par certaines enquêtes judiciaires. Dans un entretien à Libération, il assume par ailleurs ses relations avec trois hommes d’affaires présentés comme spécialistes de la corruption, Robert Bourgi, Alexandre Djouhri et Ziad Takieddine, qu’il dit fréquenter uniquement pour leurs avis judicieux. Il admet avoir réuni, quand il était secrétaire général de l’Élysée de mai 2007 à février 2011, des personnalités pour faire face aux accusations portées contre le parti majoritaire et Nicolas Sarkozy dans l’enquête visant l’héritière de L’Oréal, Liliane Bettencourt.
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