Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire et lu par l’ancien député Élias Atallah, le secrétariat général renouvelle l’expression de « sa solidarité avec le peuple syrien et avec son aspiration à la liberté, la démocratie et la dignité ». Il appelle « la société libanaise à se ranger aux côtés du peuple syrien par tous les moyens opportuns pour faire cesser la violence subie par les contestataires pacifiques de la part du régime syrien et de ses services sécuritaires et militaires ».
Cependant, ajoute le texte, « la solidarité médiatique ne suffit plus à protéger le peuple syrien des massacres qu’il subit ». « Il est à présent devenu nécessaire que les communautés arabe et internationale entreprennent des actions concrètes susceptibles de libérer le peuple syrien du joug d’un régime acharné à poursuivre sa politique d’oppression, de force et de violence pour soumettre les gens et les contraindre à abandonner leurs droits politiques, démocratiques et humains », a souligné le communiqué.
Le 14 Mars condamne, d’autre part, « les tentatives répétées du pouvoir au Liban de venir en aide au régime syrien et de le soutenir auprès des instances arabes et internationales ».
Par ailleurs, au sujet du Tribunal spécial pour le Liban, le secrétariat général exprime son « rejet de toutes les tentatives d’atermoiement dans la question de la contribution financière du Liban » au TSL et invite le gouvernement à « trancher loin de toute manœuvre politique et médiatique ». Il l’appelle aussi à s’abstenir de « procéder à une distribution des rôles à ce sujet entre les composantes du gouvernement dans le but de gagner du temps et d’entraver l’action du tribunal ».
Prié par la suite de commenter les explications du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, selon lequel ses propos en France avaient été rapportés de manière tronquée, M. Atallah a répondu : « Chacun de nous a exprimé sa position sur ce qui a été dit. Ce qui est clair, c’est que nous avons évité d’entrer dans une polémique directe avec le patriarcat en tant qu’instance. Cependant, étant donné qu’il n’existe pas de “wilayet el-faqih” chez les chrétiens, chaque citoyen chrétien a le droit d’exprimer son désaccord avec tout ce qui n’est pas conforme à ses convictions et à ses constantes nationales ».
Mme. Carine FARES, vous parlez de QUOI là ! Le fait d'exiger un second vote de Confiance pour vérifier si la majorité de ce "gouvernement" tiendrais le coup reviens pour vous à dire que c'est du bolchévisme !!! "Vous divaguez" ou QUOI !!!!!!!!!!!!!!!
04 h 35, le 16 septembre 2011