« Les propos parus dans WikiLeaks démontrent qu’il y a désormais une attitude générale au Liban exprimée par l’ensemble des alliés du Hezbollah ou même des partis adverses au sein du 14 Mars attestant que la logique des armes est refusée. » C’est ce qu’a déclaré hier le député du bloc Liban d’abord, Jean Oghassabian, à l’issue de sa rencontre avec le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, à Meerab.
Le député, qui faisant notamment allusion aux documents publiés par WikiLeaks concernant les propos qu’aurait tenus le président de la Chambre, Nabih Berry, au sujet des armes du parti chiite, a insisté sur « la nécessité aujourd’hui de revenir à l’État fort et puissant auquel revient la prérogative de gérer et de placer sous son autorité les armes ».
« Quant aux accusations de traîtrise et autres imputations infondées, elles ne servent à rien mais poussent le pays à plus de tension et de division », a-t-il affirmé, en souhaitant que le Hezbollah puisse reconsidérer sa situation, « car il ne peut poursuivre dans sa politique de marginalisation des autres ».
Commentant par ailleurs les déclarations du député Walid Joumblatt qui avait critiqué la veille les propos du patriarche maronite sur le lien établi entre les armes du Hezbollah, la libération des fermes de Chebaa et le retour des Palestiniens, M. Oghassabian a estimé que la position du leader druze « est une position nationale qui s’harmonise totalement avec les positions du 14 Mars ».
« Il a d’ailleurs été pionnier en ce domaine lorsque nous étions dans le même camp et que nous avions déclaré que les armes du Hezbollah doivent être confiées à l’État et qu’elles ne peuvent être liées au retour des Palestiniens ou à la question du Proche-Orient dans son ensemble », a encore relevé le député.
« Ces armes sont devenues source de crise, puisqu’elles sont utilisées à l’intérieur du pays, que ce soit au plan sécuritaire – comme nous l’avons vu hier (lundi) à Bourj Brajneh – ou au plan politique à la manière des chemises noires. Elles sont en outre utilisées en vue de modifier les équilibres au sein du Parlement, d’où la nécessité pour le parti chiite d’entamer une autocritique sur cette question », a-t-il ajouté.
Réagissant aux propos du patriarche maronite, M. Oghassabian a espéré que le prélat maronite, qui affirme que ces déclarations ont été mal interprétées, puisse profiter de ce contexte pour expliciter ses propos.
Le député, qui faisant notamment allusion aux documents publiés par WikiLeaks concernant les propos qu’aurait tenus le président de la Chambre, Nabih Berry, au sujet des armes du parti chiite, a insisté sur « la nécessité aujourd’hui de revenir à l’État fort et puissant auquel revient la prérogative de gérer et de placer sous son autorité les armes ».
« Quant aux accusations de traîtrise et autres imputations infondées, elles ne servent à rien mais poussent le pays à plus de tension et de division », a-t-il affirmé, en souhaitant que le Hezbollah puisse reconsidérer sa situation, « car il ne peut poursuivre dans sa politique de marginalisation des autres ».
Commentant par ailleurs les déclarations du député Walid Joumblatt qui avait critiqué la veille les propos du patriarche maronite sur le lien établi entre les armes du Hezbollah, la libération des fermes de Chebaa et le retour des Palestiniens, M. Oghassabian a estimé que la position du leader druze « est une position nationale qui s’harmonise totalement avec les positions du 14 Mars ».
« Il a d’ailleurs été pionnier en ce domaine lorsque nous étions dans le même camp et que nous avions déclaré que les armes du Hezbollah doivent être confiées à l’État et qu’elles ne peuvent être liées au retour des Palestiniens ou à la question du Proche-Orient dans son ensemble », a encore relevé le député.
« Ces armes sont devenues source de crise, puisqu’elles sont utilisées à l’intérieur du pays, que ce soit au plan sécuritaire – comme nous l’avons vu hier (lundi) à Bourj Brajneh – ou au plan politique à la manière des chemises noires. Elles sont en outre utilisées en vue de modifier les équilibres au sein du Parlement, d’où la nécessité pour le parti chiite d’entamer une autocritique sur cette question », a-t-il ajouté.
Réagissant aux propos du patriarche maronite, M. Oghassabian a espéré que le prélat maronite, qui affirme que ces déclarations ont été mal interprétées, puisse profiter de ce contexte pour expliciter ses propos.
« Les propos parus dans WikiLeaks démontrent qu’il y a désormais une attitude générale au Liban exprimée par l’ensemble des alliés du Hezbollah ou même des partis adverses au sein du 14 Mars attestant que la logique des armes est refusée. » C’est ce qu’a déclaré hier le député du bloc Liban d’abord, Jean Oghassabian, à l’issue de sa rencontre avec le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, à Meerab. Le député, qui faisant notamment allusion aux documents publiés par WikiLeaks concernant les propos qu’aurait tenus le président de la Chambre, Nabih Berry, au sujet des armes du parti chiite, a insisté sur « la nécessité aujourd’hui de revenir à l’État fort et puissant auquel revient la prérogative de gérer et de placer sous son autorité les armes ». « Quant aux accusations de...
M. GEDEON, laissez les palestiniens des camps en PAIX et contentez-vous de débarrasser les armes bien connues des Pro Syriens dans les camps soi disant palestiniens et celles du hezbollah. Les véritables Palestiniens des Véritables camps auront toujours besoin des armes légères aux mains de LEUR police pour qu'ils puissent se défendre des assassins qui rentrent tuer hommes femmes et enfants ! Basta.
09 h 08, le 15 septembre 2011