Le bloc parlementaire du Futur a mis en exergue hier le fait que « le Liban, musulmans et chrétiens compris, a intérêt à diffuser la culture de la modération et de la tolérance, conformément aux principes du régime démocratique ». À l’issue de la réunion sous la présidence du député Fouad Siniora, le bloc a indiqué, dans une réponse indirecte aux propos du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, que « les peuples arabes souhaitent progresser vers la mise en place d’un régime démocratique qui consoliderait le respect des libertés religieuses, individuelles et politiques, et des droits de l’homme, sans les susceptibilités relatives à la loi du nombre, aux minorités et aux majorités ». « Ce régime garantit la reconnaissance de toutes les composantes sociales et spirituelles dans notre région arabe, préserve la liberté de participation politique effective sans aucun obstacle face à n’importe quelle partie, stabilise la règle de l’alternance au pouvoir d’une manière pacifique, de manière à préserver la dignité de l’homme arabe, lui garantir le respect de la liberté d’expression et consacrer en même temps le respect de la reddition des comptes et de la transparence », a-t-il souligné.
Le bloc a par ailleurs estimé que « le Liban souhaite consolider les relations fraternelles avec la Syrie sœur, fondées sur l’égalité et l’équilibre, sur base de l’indépendance des deux pays et du respect mutuel entre les deux, tout en prenant en considération le respect du droit du peuple syrien à disposer de lui-même dans son aspiration à la consécration de sa liberté, sa démocratie et son régime politique ».
Concernant le financement du Tribunal spécial pour le Liban, le bloc du Futur a appelé le gouvernement à respecter ses engagements auprès de la communauté internationale et du TSL, estimant que le cabinet devrait mettre ses propos à exécution.
Le bloc a enfin successivement renouvelé son soutien au peuple syrien, au peuple palestinien dans sa volonté de voir son État reconnu à l’ONU, soulignant également « l’échec de la pensée takfirie arriérée, dix ans après le 11 septembre 2001 », comme le prouve le printemps arabe actuel, « mouvement aux antipodes de cette orientation et qui en constitue une condamnation ».
Le bloc a par ailleurs estimé que « le Liban souhaite consolider les relations fraternelles avec la Syrie sœur, fondées sur l’égalité et l’équilibre, sur base de l’indépendance des deux pays et du respect mutuel entre les deux, tout en prenant en considération le respect du droit du peuple syrien à disposer de lui-même dans son aspiration à la consécration de sa liberté, sa démocratie et son régime politique ».
Concernant le financement du Tribunal spécial pour le Liban, le bloc du Futur a appelé le gouvernement à respecter ses engagements auprès de la communauté internationale et du TSL, estimant que le cabinet devrait mettre ses propos à exécution.
Le bloc a enfin successivement renouvelé son soutien au peuple syrien, au peuple palestinien dans sa volonté de voir son État reconnu à l’ONU, soulignant également « l’échec de la pensée takfirie arriérée, dix ans après le 11 septembre 2001 », comme le prouve le printemps arabe actuel, « mouvement aux antipodes de cette orientation et qui en constitue une condamnation ».
Le bloc parlementaire du Futur a mis en exergue hier le fait que « le Liban, musulmans et chrétiens compris, a intérêt à diffuser la culture de la modération et de la tolérance, conformément aux principes du régime démocratique ». À l’issue de la réunion sous la présidence du député Fouad Siniora, le bloc a indiqué, dans une réponse indirecte aux propos du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, que « les peuples arabes souhaitent progresser vers la mise en place d’un régime démocratique qui consoliderait le respect des libertés religieuses, individuelles et politiques, et des droits de l’homme, sans les susceptibilités relatives à la loi du nombre, aux minorités et aux majorités ». « Ce régime garantit la reconnaissance de toutes les composantes sociales et spirituelles dans notre région arabe,...