L’association Journalistes contre la violence a exprimé sa surprise hier à la suite des propos tenus dimanche par le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, à son retour de Paris, selon lesquels les médias auraient « sorti ses déclarations de leur contexte » et auraient « manqué d’objectivité » dans la couverture de sa visite.
« Notre surprise découle du fait que le patriarche Raï était l’un des plus grands défenseurs des libertés médiatiques et faisait partie de ceux qui comprenaient les craintes des médias relatives aux interdictions, lignes rouges et autocensure. De plus, non seulement il a été président du comité épiscopal d’information catholique au Liban, mais les journalistes considèrent Mgr Raï comme l’un d’eux. Il sait aussi que les médias ne créent pas l’événement, mais relatent la réalité de ce qui s’est produit et des positions qui ont été exprimées. Partant, le fait de transformer en permanence les médias en boucs émissaires est une logique que Mgr Raï devrait lui-même rejeter, avant même que le corps médiatique ne le fasse. D’autant que les positions du patriarche qui ont été retransmises par les médias existent noir sur blanc dans la presse et les médias, et ces entretiens audiovisuels et écrits n’ont donné lieu à aucune clarification ni à aucun démenti de sa part », a indiqué Journalistes contre la violence dans son communiqué.
« Notre surprise découle du fait que le patriarche Raï était l’un des plus grands défenseurs des libertés médiatiques et faisait partie de ceux qui comprenaient les craintes des médias relatives aux interdictions, lignes rouges et autocensure. De plus, non seulement il a été président du comité épiscopal d’information catholique au Liban, mais les journalistes considèrent Mgr Raï comme l’un d’eux. Il sait aussi que les médias ne créent pas l’événement, mais relatent la réalité de ce qui s’est produit et des positions qui ont été exprimées. Partant, le fait de transformer en permanence les médias en boucs émissaires est une logique que Mgr Raï devrait lui-même rejeter, avant même que le corps médiatique ne le fasse. D’autant que les positions du patriarche qui ont été retransmises par les médias existent noir sur blanc dans la presse et les médias, et ces entretiens audiovisuels et écrits n’ont donné lieu à aucune clarification ni à aucun démenti de sa part », a indiqué Journalistes contre la violence dans son communiqué.
L’association Journalistes contre la violence a exprimé sa surprise hier à la suite des propos tenus dimanche par le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, à son retour de Paris, selon lesquels les médias auraient « sorti ses déclarations de leur contexte » et auraient « manqué d’objectivité » dans la couverture de sa visite.« Notre surprise découle du fait que le patriarche Raï était l’un des plus grands défenseurs des libertés médiatiques et faisait partie de ceux qui comprenaient les craintes des médias relatives aux interdictions, lignes rouges et autocensure. De plus, non seulement il a été président du comité épiscopal d’information catholique au Liban, mais les journalistes considèrent Mgr Raï comme l’un d’eux. Il sait aussi que les médias ne créent pas l’événement, mais relatent...
Qu'est-ce que je peux vous dire chers amis ??!!! Rïha, haramiha....par manque d'envergure ! M.Touma vient de lui mettre tous les points sur ses I mais il est à reconnaître que ''kana al lazi khiftou an yakouna'' et notre ''berger'' a tout pour être '' ce mauvais cheval sur lequel il ne faut pas miser'' fort malheureusement !! C'est comme pour un mariage malheureux : Jézé jouastik bas haz mnén bjiblik??'' On lui a confié ce qui est l'essence et l'existence même ...la colonne vertébrale! de ce qui est le pays du Cèdre,saura-t-il transcender cette union de chair et de sang ? Le divorce est à l'horizon et la faute dans ce cas ne fait pas mystère... Mariage voué à l'annulation par la faute du parti qui refuse de le consommer ,et cela est faisable même dans l'église maronite...
00 h 38, le 13 septembre 2011