Le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, a tenu hier une conférence de presse sur la seconde réunion des pays partenaires de la Convention sur les armes à sous-munitions (bombes à fragmentation), qui se tiendra à Beyrouth lundi prochain.
Le ministre a précisé que près de 700 participants représentant 80 États seront présents à ce forum, précisant que le Liban est malheureusement l’exemple le plus récent dans la région pour avoir vécu les conséquences néfastes des bombes à fragmentation et leur potentiel de destruction. M. Mansour a rappelé qu’Israël a largué 4 millions de bombes de ce type au Liban-Sud et dans la Békaa-Ouest, au cours des dernières 72 heures de la guerre de juillet 2006, sans parler des dizaines d’engins explosifs non actionnés et des mines qui sont toujours semées dans ces deux régions, a-t-il précisé.
Le ministre a également rappelé que depuis la cessation des hostilités avec Israël, le 14 août 2006, 400 victimes sont tombées des suites des armes à sous-munitions dont le tiers a moins de 18 ans.
Il a en outre expliqué le rôle joué par le Liban sur la voie de l’interdiction des bombes à fragmentation, à cause notamment du recours d’Israël à ce type d’armes, une raison majeure qui a donné lieu à la Convention sur les armes à sous-munitions, en 2008. Le Liban a participé de manière active aux négociations sur ce plan.
« Le Liban, qui est l’un des pays qui ont le plus souffert de ce problème, a réussi à transformer les tragédies dues aux bombes à fragmentation en victoire grâce à la coopération étroite qui a eu lieu entre les habitants, l’armée libanaise et les ONG et associations nationales et internationales concernées », a enchaîné le ministre.
Le forum qui se tiendra au Liban sera ainsi l’occasion de faire preuve de la coopération des pays signataires de la convention et leur capacité à promouvoir la paix et le développement, ainsi que leur détermination à mettre en exécution leurs engagements respectifs sur base du plan de travail décidé en 2010.
Le ministre a précisé que près de 700 participants représentant 80 États seront présents à ce forum, précisant que le Liban est malheureusement l’exemple le plus récent dans la région pour avoir vécu les conséquences néfastes des bombes à fragmentation et leur potentiel de destruction. M. Mansour a rappelé qu’Israël a largué 4 millions de bombes de ce type au Liban-Sud et dans la Békaa-Ouest, au cours des dernières 72 heures de la guerre de juillet 2006, sans parler des dizaines d’engins explosifs non actionnés et des mines qui sont toujours semées dans ces deux régions, a-t-il précisé.
Le ministre a également rappelé que depuis la cessation des hostilités avec Israël, le 14 août 2006, 400 victimes sont tombées des suites des armes à sous-munitions dont le tiers a moins de 18 ans.
Il a en outre expliqué le rôle joué par le Liban sur la voie de l’interdiction des bombes à fragmentation, à cause notamment du recours d’Israël à ce type d’armes, une raison majeure qui a donné lieu à la Convention sur les armes à sous-munitions, en 2008. Le Liban a participé de manière active aux négociations sur ce plan.
« Le Liban, qui est l’un des pays qui ont le plus souffert de ce problème, a réussi à transformer les tragédies dues aux bombes à fragmentation en victoire grâce à la coopération étroite qui a eu lieu entre les habitants, l’armée libanaise et les ONG et associations nationales et internationales concernées », a enchaîné le ministre.
Le forum qui se tiendra au Liban sera ainsi l’occasion de faire preuve de la coopération des pays signataires de la convention et leur capacité à promouvoir la paix et le développement, ainsi que leur détermination à mettre en exécution leurs engagements respectifs sur base du plan de travail décidé en 2010.
Le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, a tenu hier une conférence de presse sur la seconde réunion des pays partenaires de la Convention sur les armes à sous-munitions (bombes à fragmentation), qui se tiendra à Beyrouth lundi prochain.Le ministre a précisé que près de 700 participants représentant 80 États seront présents à ce forum, précisant que le Liban est malheureusement l’exemple le plus récent dans la région pour avoir vécu les conséquences néfastes des bombes à fragmentation et leur potentiel de destruction. M. Mansour a rappelé qu’Israël a largué 4 millions de bombes de ce type au Liban-Sud et dans la Békaa-Ouest, au cours des dernières 72 heures de la guerre de juillet 2006, sans parler des dizaines d’engins explosifs non actionnés et des mines qui sont toujours semées dans ces...
Ces bombes pour démembrer ou tuer qui messieurs les héros de la démocratie et les protégés de l'occidents? un enfant qui joue dans son jardin? Un paysan qui cultive son champ? un promeneur qui flâne dans la nature peut-être?... Après la deuxième guerre mondiale, certains ont dit: On oubliera pas, on ne pardonnera pas! Eh bien, je pense que ceux-là ne sont pas les seuls!!!
17 h 44, le 10 septembre 2011