« Apprendre à se connaître pour mieux connaître l'autre. » Tel est l'objectif que s'est donné le Centre culturel de Jamhour cette année ! « Les Libanais sont des gens curieux qui aiment découvrir une foule de choses mais, étrangement, ils donnent l'impression de moins connaître leur propre pays », déclare la vice-présidente du comité directeur du Centre, Joumana Hobeika. En outre, le choix du Liban comme base de travail se justifie avec le contexte politique actuel, qui fragilise un peu plus le pays du Cèdre. « La politique n'est pas tout, la culture, elle, permet de rassembler, et c'est le plus important », affirme la responsable.
Le Centre aimerait favoriser une meilleure connaissance du Liban via des ateliers dédiés aux religions chrétienne, musulmane, judaïque et même bouddhiste, ainsi qu'à l'histoire du pays. Côté littérature, plusieurs écrivains libanais seront invités à parler de leurs œuvres comme Percy Kemp, Joumana Haddad, Alexandre Najjar et bien d'autres. À noter qu'une rétrospective du cinéma libanais, « plutôt méditerranéen », selon les organisateurs, aura pour tâche de faire découvrir des grands noms du 7e art, comme Pedro Almodovar, Nanni Moretti ou encore Federico Fellini.
Des curieux qui se font plus nombreux
L'année dernière, 500 personnes s'étaient inscrites aux quinze ateliers proposés par le Centre. « On en espère toujours un peu plus tous les ans », avoue Mme Hobeika. Cette année, l'accent est mis aussi sur les conversations en anglais. Avec la mondialisation, l'utilisation de l'anglais devient de plus en plus nécessaire pour communiquer avec le reste du monde. Enfin, pour les plus curieux, le Centre organise « Les marches du Centre sportif », une manière de faire découvrir le Liban. Pour les responsables, c'est avant tout un moyen de montrer aux Libanais les richesses de leur propre pays. « Il est nécessaire de s'intéresser aux pays étrangers, mais pourquoi ne pas s'informer sur son propre pays ? » interroge Mme Hobeika.
Deux anciens seront à l'honneur pour ouvrir cette nouvelle saison. Philippe Jabre présentera quelques clichés qu'il aura lui-même choisis de sa collection privée sur le thème « Le Liban des orientalistes ». Puis, l'inauguration prendra un air un peu plus glamour avec le premier défilé de la couturière Karoline Lang, intitulé « Branches de vie ».
Le Centre a organisé une journée portes ouvertes mardi dernier.
Le Centre aimerait favoriser une meilleure connaissance du Liban via des ateliers dédiés aux religions chrétienne, musulmane, judaïque et même bouddhiste, ainsi qu'à l'histoire du pays. Côté littérature, plusieurs écrivains libanais seront invités à parler de leurs œuvres comme Percy Kemp, Joumana Haddad, Alexandre Najjar et bien d'autres. À noter qu'une rétrospective du cinéma libanais, « plutôt méditerranéen », selon les organisateurs, aura pour tâche de faire découvrir des grands noms du 7e art, comme Pedro Almodovar, Nanni Moretti ou encore Federico Fellini.
Des curieux qui se font plus nombreux
L'année dernière, 500 personnes s'étaient inscrites aux quinze ateliers proposés par le Centre. « On en espère toujours un peu plus tous les ans », avoue Mme Hobeika. Cette année, l'accent est mis aussi sur les conversations en anglais. Avec la mondialisation, l'utilisation de l'anglais devient de plus en plus nécessaire pour communiquer avec le reste du monde. Enfin, pour les plus curieux, le Centre organise « Les marches du Centre sportif », une manière de faire découvrir le Liban. Pour les responsables, c'est avant tout un moyen de montrer aux Libanais les richesses de leur propre pays. « Il est nécessaire de s'intéresser aux pays étrangers, mais pourquoi ne pas s'informer sur son propre pays ? » interroge Mme Hobeika.
Deux anciens seront à l'honneur pour ouvrir cette nouvelle saison. Philippe Jabre présentera quelques clichés qu'il aura lui-même choisis de sa collection privée sur le thème « Le Liban des orientalistes ». Puis, l'inauguration prendra un air un peu plus glamour avec le premier défilé de la couturière Karoline Lang, intitulé « Branches de vie ».
Le Centre a organisé une journée portes ouvertes mardi dernier.
« Apprendre à se connaître pour mieux connaître l'autre. » Tel est l'objectif que s'est donné le Centre culturel de Jamhour cette année ! « Les Libanais sont des gens curieux qui aiment découvrir une foule de choses mais, étrangement, ils donnent l'impression de moins connaître leur propre pays »,...
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