La tension croissante au Liban et la première visite officielle du président iranien Mahmoud Ahmadinejad à Beyrouth, prévue le 13 octobre prochain, constituent-elles une menace de plus pour la Finul, notamment pour le contingent italien ?
« Je ne vois là aucun sujet de préoccupation concernant les troupes italiennes », a indiqué sur ce plan à L'Orient Le Jour le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, qui se trouve à New York pour prendre part aux travaux du sommet du Mmllénaire à l'ONU. Le ministre s'est félicité de la « très bonne coopération entre le contingent italien et l'administration libanaise, y compris avec l'armée libanaise. Nos règles d'engagement, dictées par l'ONU, sont absolument claires, » a-t-il précisé. Le ministre italien s'est exprimé lors d'une conférence de presse réservée aux journalistes italiens, qui s'est déroulée hier au siège de la mission de l'Italie auprès de l'ONU à New York.
« Garantir la stabilité du Liban »
Pour Franco Frattini, la prochaine visite du président iranien Mahmoud Ahmadinejad au Liban « ne devrait pas être considérée comme un élément d'instabilité ». Il a réitéré la position de son pays vis-à-vis du Liban indiquant clairement : « Nous voulons un Liban libre et indépendant. » Le ministre italien a aussi insisté sur le fait que « les pays voisins » du Liban, « y compris la Syrie et l'Iran, coopèrent pour la stabilité et non pour l'instabilité ».
« Lorsque le contingent de la Finul a découvert d'importantes caches d'armes au Liban-Sud, nous avons eu malheureusement l'évidence claire de la porosité des frontières entre le Liban et la Syrie, ce qui reste un élément à prendre en considération, a-t-il déclaré. La contrebande d'armes est un fait et non une opinion, a-t-il ajouté. Nous avons toujours pressé l'Iran de jouer un rôle constructif afin d'éviter d'enflammer la situation au Moyen-Orient », a souligné M. Frattini. Rappelant la position de l'Iran vis-à-vis des pourparlers de paix qui sont en cours, le ministre italien a indiqué : « Nous connaissons parfaitement la déclaration faite par les autorités iraniennes au sujet du processus de paix et leur scepticisme concernant les pourparlers directs actuels. » Il a conclu en ces termes : « Je ne suis pas préoccupé au sujet des troupes italiennes au Liban. Nous garderons nos troupes pour continuer à garantir la stabilité du Liban. »
« Je ne vois là aucun sujet de préoccupation concernant les troupes italiennes », a indiqué sur ce plan à L'Orient Le Jour le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, qui se trouve à New York pour prendre part aux travaux du sommet du Mmllénaire à l'ONU. Le ministre s'est félicité de la « très bonne coopération entre le contingent italien et l'administration libanaise, y compris avec l'armée libanaise. Nos règles d'engagement, dictées par l'ONU, sont absolument claires, » a-t-il précisé. Le ministre italien s'est exprimé lors d'une conférence de presse réservée aux journalistes italiens, qui s'est déroulée hier au siège de la mission de l'Italie auprès de l'ONU à New York.
« Garantir la stabilité du Liban »
Pour Franco Frattini, la prochaine visite du président iranien Mahmoud Ahmadinejad au Liban « ne devrait pas être considérée comme un élément d'instabilité ». Il a réitéré la position de son pays vis-à-vis du Liban indiquant clairement : « Nous voulons un Liban libre et indépendant. » Le ministre italien a aussi insisté sur le fait que « les pays voisins » du Liban, « y compris la Syrie et l'Iran, coopèrent pour la stabilité et non pour l'instabilité ».
« Lorsque le contingent de la Finul a découvert d'importantes caches d'armes au Liban-Sud, nous avons eu malheureusement l'évidence claire de la porosité des frontières entre le Liban et la Syrie, ce qui reste un élément à prendre en considération, a-t-il déclaré. La contrebande d'armes est un fait et non une opinion, a-t-il ajouté. Nous avons toujours pressé l'Iran de jouer un rôle constructif afin d'éviter d'enflammer la situation au Moyen-Orient », a souligné M. Frattini. Rappelant la position de l'Iran vis-à-vis des pourparlers de paix qui sont en cours, le ministre italien a indiqué : « Nous connaissons parfaitement la déclaration faite par les autorités iraniennes au sujet du processus de paix et leur scepticisme concernant les pourparlers directs actuels. » Il a conclu en ces termes : « Je ne suis pas préoccupé au sujet des troupes italiennes au Liban. Nous garderons nos troupes pour continuer à garantir la stabilité du Liban. »
La tension croissante au Liban et la première visite officielle du président iranien Mahmoud Ahmadinejad à Beyrouth, prévue le 13 octobre prochain, constituent-elles une menace de plus pour la Finul, notamment pour le contingent italien ?« Je ne vois là aucun sujet de préoccupation concernant les troupes italiennes », a...