L'Allemand Berti Vogts, sélectionneur de l'Azerbaïdjan, s'attend à ce que son équipe prenne une leçon contre l'Allemagne demain en match de qualifications pour l'Euro 2012 (GrA), a-t-il déclaré hier.
« Chaque joueur à la fin de la partie, doit se demander "Qu'est-ce qui me manque ? Qu'est-ce que je dois améliorer ?" », a poursuivi l'ancien sélectionneur de la Nationalmannschaft de 1990 à 1998.
« Mais nous allons faire de notre mieux et courir jusqu'au coup de sifflet final », a-t-il prévenu. En Azerbaïdjan, Vogts se voit plus dans le rôle d'un bâtisseur que celui d'un sélectionneur. « Le foot n'est ici qu'un sport à la marge. Le sport numéro un, ce sont les échecs. Après viennent la lutte et l'haltérophie », a-t-il rappelé. « Il faudra encore quatre à cinq ans pour que l'Azerbaïdjan trouve sa place dans le ventre mou du football européen. On ne pourra pas aller plus vite », a regretté Vogts.
Sous contrat avec l'Azerbaïdjan depuis avril 2008, Vogts a déjà affronté la sélection allemande à l'occasion des qualifications pour le Mondial 2010. Son équipe s'était inclinée 2-0 à domicile à Bakou, et 4-0 en Allemagne.
« Chaque joueur à la fin de la partie, doit se demander "Qu'est-ce qui me manque ? Qu'est-ce que je dois améliorer ?" », a poursuivi l'ancien sélectionneur de la Nationalmannschaft de 1990 à 1998.
« Mais nous allons faire de notre mieux et courir jusqu'au coup de sifflet final », a-t-il prévenu. En Azerbaïdjan, Vogts se voit plus dans le rôle d'un bâtisseur que celui d'un sélectionneur. « Le foot n'est ici qu'un sport à la marge. Le sport numéro un, ce sont les échecs. Après viennent la lutte et l'haltérophie », a-t-il rappelé. « Il faudra encore quatre à cinq ans pour que l'Azerbaïdjan trouve sa place dans le ventre mou du football européen. On ne pourra pas aller plus vite », a regretté Vogts.
Sous contrat avec l'Azerbaïdjan depuis avril 2008, Vogts a déjà affronté la sélection allemande à l'occasion des qualifications pour le Mondial 2010. Son équipe s'était inclinée 2-0 à domicile à Bakou, et 4-0 en Allemagne.
L'Allemand Berti Vogts, sélectionneur de l'Azerbaïdjan, s'attend à ce que son équipe prenne une leçon contre l'Allemagne demain en match de qualifications pour l'Euro 2012 (GrA), a-t-il déclaré hier.« Chaque joueur à la fin de la partie, doit se demander "Qu'est-ce qui me manque ? Qu'est-ce que je dois améliorer ?" », a poursuivi l'ancien sélectionneur de la Nationalmannschaft de 1990 à 1998.« Mais nous allons faire de notre mieux et courir jusqu'au coup de sifflet final », a-t-il prévenu. En Azerbaïdjan, Vogts se voit plus dans le rôle d'un bâtisseur que celui d'un sélectionneur. « Le foot n'est ici qu'un sport à la marge. Le sport numéro un, ce sont les...