La Direction générale de la Sûreté générale nous a communiqué hier la mise au point suivante :
« Suite à l'article paru dans le numéro du 4 août 2010 sous le titre « Le calvaire des citoyens porteurs de numéros de passeports volés », nous tenons à apporter les précisions suivantes :
- La Direction générale de la Sûreté générale a adressé à maintes reprises au secrétariat général d'Interpol des correspondances visant à mettre fin à la confusion entre les anciens et les nouveaux passeports, en expliquant leurs points distinctifs surtout au niveau du code RL et de la date de délivrance du passeport, et en insistant sur la différence entre leurs spécifications respectives et le procédé de vérification. Malheureusement, le problème a persisté dans nombre d'aéroports, entravant le voyage de certains Libanais qui sont souvent arrêtés, même après avoir changé leur passeport, du fait d'une arrestation précédente et non plus à cause du numéro de leur passeport.
- Lorsqu'un passeport ou autre document de voyage est perdu, le formulaire de notification comprend le numéro du passeport ainsi que le code RL si c'est un nouveau passeport, le nom et la nationalité de son porteur ainsi que le type du document. Par ailleurs, les numéros des anciens passeports ne sont pas suivis par la lettre L comme le mentionne votre article.
- La Direction générale de la Sûreté générale délivre, à la demande des personnes concernées, des attestations explicatives afin d'éviter la répétition des problèmes dans les aéroports, de même qu'elle répond aux dépêches d'Interpol relatives aux personnes porteuses de passeports volés ou perdus.
- La meilleure solution reste l'adoption des normes biométriques qui ne laissent aucune place à la confusion. En attendant leur mise en place, il est nécessaire de résoudre le problème avec Interpol et de publier des circulaires concernant les différences entre les deux passeports. »
« Suite à l'article paru dans le numéro du 4 août 2010 sous le titre « Le calvaire des citoyens porteurs de numéros de passeports volés », nous tenons à apporter les précisions suivantes :
- La Direction générale de la Sûreté générale a adressé à maintes reprises au secrétariat général d'Interpol des correspondances visant à mettre fin à la confusion entre les anciens et les nouveaux passeports, en expliquant leurs points distinctifs surtout au niveau du code RL et de la date de délivrance du passeport, et en insistant sur la différence entre leurs spécifications respectives et le procédé de vérification. Malheureusement, le problème a persisté dans nombre d'aéroports, entravant le voyage de certains Libanais qui sont souvent arrêtés, même après avoir changé leur passeport, du fait d'une arrestation précédente et non plus à cause du numéro de leur passeport.
- Lorsqu'un passeport ou autre document de voyage est perdu, le formulaire de notification comprend le numéro du passeport ainsi que le code RL si c'est un nouveau passeport, le nom et la nationalité de son porteur ainsi que le type du document. Par ailleurs, les numéros des anciens passeports ne sont pas suivis par la lettre L comme le mentionne votre article.
- La Direction générale de la Sûreté générale délivre, à la demande des personnes concernées, des attestations explicatives afin d'éviter la répétition des problèmes dans les aéroports, de même qu'elle répond aux dépêches d'Interpol relatives aux personnes porteuses de passeports volés ou perdus.
- La meilleure solution reste l'adoption des normes biométriques qui ne laissent aucune place à la confusion. En attendant leur mise en place, il est nécessaire de résoudre le problème avec Interpol et de publier des circulaires concernant les différences entre les deux passeports. »
La Direction générale de la Sûreté générale nous a communiqué hier la mise au point suivante : « Suite à l'article paru dans le numéro du 4 août 2010 sous le titre « Le calvaire des citoyens porteurs de numéros de passeports volés », nous tenons à apporter les...