Le quotidien syrien Techrine s'est interrogé dans son édition d'hier sur l'opportunité de la déclaration ministérielle, s'en prenant aux ministres qui critiquent la Résistance publiquement et s'interrogeant sur le point de savoir « comment ils peuvent rester au sein du gouvernement ».
Techrine a aussi mis en doute l'attachement de ces mêmes parties à l'entente nationale et laissé entendre qu'une cinquième colonne aurait provoqué les incidents sanglants de Bourj Abi Haïdar, partant du principe que ni le Hezbollah ni les Ahbaches « qui font partie d'un même bord politique ne souhaitent s'engager dans un conflit communautaire ».
Proche de la Syrie, l'ancien ministre Abdel Rahim Mrad a aussi jugé que l'objectif de la démilitarisation de Beyrouth est de porter atteinte aux armes de la Résistance, « en application d'un complot américano-sioniste ». « Qui garantit que Beyrouth sera une ville sûre et ne sera pas exposée à une invasion israélienne si elle devient démilitarisée ? » s'est-il interrogé tout en affirmant être opposé aux armes « qui n'ont rien à voir avec la Résistance ».
Techrine a aussi mis en doute l'attachement de ces mêmes parties à l'entente nationale et laissé entendre qu'une cinquième colonne aurait provoqué les incidents sanglants de Bourj Abi Haïdar, partant du principe que ni le Hezbollah ni les Ahbaches « qui font partie d'un même bord politique ne souhaitent s'engager dans un conflit communautaire ».
Proche de la Syrie, l'ancien ministre Abdel Rahim Mrad a aussi jugé que l'objectif de la démilitarisation de Beyrouth est de porter atteinte aux armes de la Résistance, « en application d'un complot américano-sioniste ». « Qui garantit que Beyrouth sera une ville sûre et ne sera pas exposée à une invasion israélienne si elle devient démilitarisée ? » s'est-il interrogé tout en affirmant être opposé aux armes « qui n'ont rien à voir avec la Résistance ».
Le quotidien syrien Techrine s'est interrogé dans son édition d'hier sur l'opportunité de la déclaration ministérielle, s'en prenant aux ministres qui critiquent la Résistance publiquement et s'interrogeant sur le point de savoir « comment ils peuvent rester au sein du gouvernement ».Techrine a aussi mis en doute l'attachement de ces mêmes parties à l'entente nationale et laissé entendre qu'une cinquième colonne aurait provoqué les incidents sanglants de Bourj Abi Haïdar, partant du principe que ni le Hezbollah ni les Ahbaches « qui font partie d'un même bord politique ne souhaitent s'engager dans un conflit communautaire ».Proche de la Syrie, l'ancien ministre Abdel Rahim Mrad a aussi jugé que...