Citant les propos du chef de l'État qui avait indiqué à partir du Chouf que « les circonstances qui ont conduit aux combats (interlibanais) et au déplacement de la population étaient plus fortes que nous » et qu'il s'agit « des mêmes circonstances qui ont mené aux incidents de Bourj Abi Haïdar », les Kataëb précisent que la déclaration du président de la République « signifie clairement que les combats à Bourj Abi Haïdar n'étaient pas un incident isolé, mais bel et bien préparé ». Le parti a réclamé le retrait de « toutes les armes illégales des mains des Libanais et de ceux qui résident au Liban, et ce sur l'ensemble du territoire libanais ». Il a en outre affirmé que ce sont l'armée et les forces de l'ordre qui doivent avoir le monopole de la violence, exprimant par la même occasion son soutien « pour une capitale démilitarisée ». Et le parti d'inviter les différentes parties « à ne pas mettre en doute le rôle de l'armée, et à lui donner le feu vert pour qu'elle puisse intervenir sur le terrain ».
Liban
Les Kataëb réclament le désarmement de l’ensemble du territoire libanais
OLJ / le 31 août 2010 à 01h22
Citant les propos du chef de l'État qui avait indiqué à partir du Chouf que « les circonstances qui ont conduit aux combats (interlibanais) et au déplacement de la population étaient plus fortes que nous » et qu'il s'agit « des mêmes circonstances qui ont mené aux incidents de Bourj Abi Haïdar », les Kataëb précisent que la déclaration du président de la République « signifie clairement que les combats à Bourj Abi Haïdar n'étaient pas un incident isolé, mais bel et bien préparé ». Le parti a réclamé le retrait de « toutes les armes illégales des mains des Libanais et de ceux qui résident au Liban, et ce sur l'ensemble du territoire libanais ». Il a en outre affirmé que ce sont l'armée et les forces de l'ordre qui doivent avoir le monopole de la violence, exprimant par la même occasion son soutien « pour une capitale démilitarisée ». Et le parti d'inviter les différentes parties « à ne pas mettre en doute le rôle de l'armée, et à lui donner le feu vert pour qu'elle puisse intervenir sur le terrain ».