Pour marquer sa solidarité avec les Ahbache, le mufti de la République s’est rendu hier à la mosquée brûlée de Basta el-Fawqa, où il a prononcé son prêche du vendredi. Anwar Amro / AFP
Après les incidents du 7 Mai et les combats de rue de mardi, la démilitarisation de Beyrouth est devenu un « besoin pressant ». Un point sur lequel les élus de la capitale ont insisté hier au cours d'une réunion extraordinaire. Membre du Bloc aouniste, le député Nehmetallah Abi-Nasr leur a fait écho, alors que le Premier ministre, Saad Hariri, cachant mal son indignation, s'interrogeait sur l'opportunité et la finalité des armes employées dans des querelles internes, indiquant que ce qui se passe profite essentiellement à Israël.
Après les incidents du 7 Mai et les combats de rue de mardi, la démilitarisation de Beyrouth est devenu un « besoin pressant ». Un point sur lequel les élus de la capitale ont insisté hier au cours d'une réunion extraordinaire. Membre du Bloc aouniste, le député Nehmetallah Abi-Nasr leur a fait écho, alors que le Premier ministre, Saad Hariri, cachant mal son indignation, s'interrogeait sur l'opportunité et la finalité des armes employées dans des querelles internes, indiquant que ce qui se passe profite essentiellement à Israël.L’appel des élus de la capitale : « Beyrouth doit être démilitarisée ! » Hariri : Il est inadmissible que l’État se confine au rôle de spectateurAbi-Nasr : Que font donc les armes de la...
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