Le président de la République, Michel Sleiman, a enjoint aux forces de l'ordre, armée et FSI, d'empêcher et de réprimer toute tentative de porter atteinte à la sécurité, au lendemain des affrontements de Bourj Abi Haïdar.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l'État a condamné les heurts survenus mardi soir, soulignant la nécessité pour « toutes les parties de s'engager à ne pas recourir aux armes pour quelque motif que ce soit ».
Invitant les forces de l'ordre à arrêter les personnes à l'origine de ces incidents, M. Sleiman a mis en garde contre les dangers des tensions provoquées sous n'importe quel prétexte, et a demandé à l'armée et aux FSI de « faire face immédiatement à toute tentative de ce genre et de la réprimer ».
Le chef de l'État avait entrepris des démarches avec de nombreux responsables politiques et sécuritaires pour circonscrire les incidents. Il avait en outre reçu la nuit un appel téléphoique de l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, en quête de nouvelles sur ce qui s'est passé et proposant son aide pour calmer la scène.
Sur un autre plan, le président Sleiman a reçu à Beiteddine le ministre du Travail, Boutros Harb, avec qui il s'est notamment entretenu de la question des droits accordés aux réfugiés palestiniens.
Il a en outre reçu le député Nehmé Tohmé ainsi que l'ancien ministre des Finances Jihad Azaour.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l'État a condamné les heurts survenus mardi soir, soulignant la nécessité pour « toutes les parties de s'engager à ne pas recourir aux armes pour quelque motif que ce soit ».
Invitant les forces de l'ordre à arrêter les personnes à l'origine de ces incidents, M. Sleiman a mis en garde contre les dangers des tensions provoquées sous n'importe quel prétexte, et a demandé à l'armée et aux FSI de « faire face immédiatement à toute tentative de ce genre et de la réprimer ».
Le chef de l'État avait entrepris des démarches avec de nombreux responsables politiques et sécuritaires pour circonscrire les incidents. Il avait en outre reçu la nuit un appel téléphoique de l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, en quête de nouvelles sur ce qui s'est passé et proposant son aide pour calmer la scène.
Sur un autre plan, le président Sleiman a reçu à Beiteddine le ministre du Travail, Boutros Harb, avec qui il s'est notamment entretenu de la question des droits accordés aux réfugiés palestiniens.
Il a en outre reçu le député Nehmé Tohmé ainsi que l'ancien ministre des Finances Jihad Azaour.
Le président de la République, Michel Sleiman, a enjoint aux forces de l'ordre, armée et FSI, d'empêcher et de réprimer toute tentative de porter atteinte à la sécurité, au lendemain des affrontements de Bourj Abi Haïdar.Selon un communiqué de la présidence, le chef de l'État a condamné les heurts survenus mardi soir, soulignant la nécessité pour « toutes les parties de s'engager à ne pas recourir aux armes pour quelque motif que ce soit ».Invitant les forces de l'ordre à arrêter les personnes à l'origine de ces incidents, M. Sleiman a mis en garde contre les dangers des tensions provoquées sous n'importe quel prétexte, et a demandé à l'armée et aux FSI...