Cette fois-ci, ce n'est pas le manque d'organisation dans les aéroports, ni même les grèves de plus en plus fréquentes qui sont mis en cause ; il s'agit tout simplement d'un évènement naturel dont le contrôle est au-delà de toute volonté humaine.
La situation semble malgré tout se résorber au Liban avec la reprise des vols habituels pour Paris dès aujourd'hui. C'est avec l'arrivée hier à 14h30 à l'Aéroport international Rafic Hariri du premier avion en provenance de la capitale française depuis vendredi passé que les compagnies aériennes ont enfin pu reprendre leur souffle. Cet avion aura servi de test ultime pour s'assurer de la navigabilité du ciel entre Beyrouth et Paris. Ce même avion a décollé quelques heures plus tard à destination de Paris, marquant ainsi le début de la reprise des vols entre les deux capitales. La situation s'était déjà légèrement améliorée hier matin avec l'ouverture des vols 211A et 231 pour Nice et Rome, opérés par la compagnie aérienne Middle East. Les enregistrements pour les deux vols se sont déroulés normalement : sur réservations et listes d'attente et non pas suivant le principe du « premier arrivé, premier servi », appliqué ces derniers jours au grand dam des voyageurs. Un des responsables de la Middle East a même précisé que presque toutes les personnes sur liste d'attente avaient pu embarquer ce matin-là. Seuls les vols pour Genève et Londres ont été annulés, étant donné que le nuage de cendres provoqué par l'éruption du volcan continue de perturber le trafic aérien dans ces zones en question.
Et dire que le seul responsable de cette perturbation est un volcan islandais au nom barbare. De quoi mettre le sang-froid d'un bon nombre de personnes à l'épreuve. Une chose est sûre, on s'en souviendra du volcan « Eyjafjallajokul ». Peut-être pas de son nom, n'allons pas jusque-là, mais certainement des désagréments qu'il aura causés, autant pour les voyageurs que pour les compagnies aériennes et les agences de voyages.
Cette fois-ci, ce n'est pas le manque d'organisation dans les aéroports, ni même les grèves de plus en plus fréquentes qui sont mis en cause ; il s'agit tout simplement d'un évènement naturel dont le contrôle est au-delà de toute volonté humaine.La situation semble malgré tout se résorber au Liban avec la reprise des vols habituels pour Paris dès aujourd'hui. C'est avec l'arrivée hier à 14h30 à l'Aéroport international Rafic Hariri du premier avion en provenance de la capitale française depuis vendredi passé que les compagnies aériennes ont enfin pu reprendre leur souffle. Cet avion aura servi de test ultime pour s'assurer de la navigabilité du ciel entre Beyrouth et Paris. Ce même avion a...