Joseph Maroun et son fils Tamatoa qui fêtera bientôt son cinquième anniversaire.
Derrière ces deux clubs et leurs deux magazines se tient un homme fier de sa nationalité, une perle libanaise rare vivant à Tahiti, Joseph Maroun. Ce Libanais d'origine a quitté son pays pour la France à l'âge de 18 ans, pour suivre des études en sciences économiques avant de se spécialiser en marketing. En 1982, il se rendit à Tahiti, en Polynésie française, où il se forgea une carrière de directeur commercial et de développement dans une compagnie polynésienne avant de devenir conseiller en communication à la commission permanente de l'Assemblée de la Polynésie française et au gouvernement de Polynésie, et d'occuper son poste actuel de conseiller à la « perliculture » et en communication au ministère de la Perliculture. Tel est, en bref, le parcours de Joseph Maroun. Qu'en est-il de ses actions à Tahiti, cette île merveilleuse qui l'a accueilli et qui a toujours veillé sur ses activités ?
Huit ans après son installation en Polynésie française, en 1990, Joseph Maroun créa l'Association des amis du Liban-Tahiti ayant pour but de « promouvoir l'amitié entre les peuples libanais et polynésien et de favoriser les échanges économiques et culturels entre les deux pays ». Cette association prône la « promotion et la défense de la francophonie » et appelle au « dialogue entre les cultures ». Elle œuvre de même pour la « protection de l'enfance » à travers des opérations humanitaires annuelles organisées par les Amis du Liban en faveur des enfants des quartiers défavorisés de Tahiti, la plus importante étant « Le Cèdre de Noël » réalisée à la fin de chaque année à l'occasion des fêtes.
« Arz Lebnaan », un magazine pour le Liban et ses amis
Dans le cadre des activités de son club qui, comme son nom l'indique, réunit les amis du Liban à Tahiti, Joseph Maroun fonda en 1997 le magazine Arz Lebnaan qui diffuse les principes de cette association tels que l'environnement, l'enfance, le tourisme, la francophonie, la démocratie, la liberté, etc. Et selon Joseph Maroun, qui assume aussi la mission de rédacteur en chef, « Arz Lebnaan porte bien son nom puisqu'il fait régulièrement mention de la beauté du Liban et de ses habitants ». C'est en 1998 que Joseph Maroun s'est adressé aux lecteurs pour la première fois à travers l'édito de son premier numéro d'Arz Lebnaan. Certaines éditions de ce magazine furent dédiées à des thèmes spécifiques tels que les enfants, vu « l'intérêt que doit porter notre société (libanaise) à l'enfant, à sa sécurité et à son éducation dans un confort affectif au sein même de la famille ». « Et quel enfant pourra vraiment devenir un adulte libre si sa mère ne l'est pas ? » affirme Maroun dans l'édito du 13e numéro de 2010 dédié aux femmes dont « la situation est liée à la gloire d'une nation, mais aussi à sa décadence. La libération de la femme et sa promotion sont des conditions nécessaires au développement de la nation et à la liberté des citoyens », a souligné Maroun à travers les pages de ce numéro plein d'émotions.
Les couvertures de ce magazine sont réalisées par des artistes polynésiens ; un fait qui reflète l'amour que porte le peuple de la terre d'accueil de Maroun pour le Liban, son cèdre et ses citoyens. C'est dans cet esprit d'amour, de partage et de responsabilité que l'équipe d'Arz Lebnaan, regroupant plusieurs personnalités du monde économique, touristique, culturel et politique, a participé - et participe toujours - à la rédaction des articles de ce magazine qui, selon Maroun, « se veut porteur du message d'espoir, d'amour, de vie et de beauté ».
« FrancOcéanie », un magazine pour la francophonie en Polynésie
Le 20 mars 2009, au cours de la journée mondiale de la francophonie, un nouveau club vit le jour : « Le Club Polynésien de la Francophonie ». Qui en est le fondateur ? Joseph Maroun, ce Libanais qui a décidé de diriger une association qui diffuse l'esprit de la Francophonie, en plus de sa mission à la tête de l'association qui lutte pour le bien-être de son pays. Qui sont les membres concernés ? Des hommes politiques, des journalistes, des écrivains et des artistes polynésiens et étrangers résidant en Polynésie française et ayant la Francophonie comme centre d'intérêts. La date de naissance officielle de ce Club est le 27 juillet 2009. Quant à son outil de promotion, il est déjà prêt, son nom est « FrancOcéanie », le magazine du Club Polynésien de la Francophonie. Sous l'égide de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le premier numéro de cette revue vient de paraitre cette année, se fixant pour but de propager les valeurs de ce Club, en l'occurrence celles de la Francophonie, en Polynésie française et dans la région du Pacifique Sud. Une revue prometteuse qui n'est qu'au début de sa mission mais qui, dès son premier numéro, s'avère digne de confiance !
RJ Liban a eu l'honneur de rencontrer Joseph Maroun en janvier dernier à Batroun, sa ville d'origine, au cours de son séjour au Liban pour discuter de ses projets actuels et futurs et lui accorder son soutien à partir de son pays natal, le Liban. A travers cet article, nous souhaitons bonne chance à cet homme qui porte sa mère patrie au fin fond de son cœur et qui rêve de faire du Liban une perle unique au Moyen-Orient et de par le monde...
Huit ans après son installation en Polynésie française, en 1990, Joseph Maroun créa l'Association des amis du Liban-Tahiti ayant pour but de « promouvoir l'amitié entre les peuples libanais et polynésien et de favoriser les échanges économiques et culturels entre les deux pays ». Cette association prône la « promotion et la défense de la francophonie » et appelle au « dialogue entre les cultures ». Elle œuvre de même pour la « protection de l'enfance » à travers des opérations humanitaires annuelles organisées par les Amis du Liban en faveur des enfants des quartiers défavorisés de Tahiti, la plus importante étant « Le Cèdre de Noël » réalisée à la fin de chaque année à l'occasion des fêtes.
« Arz Lebnaan », un magazine pour le Liban et ses amis
Dans le cadre des activités de son club qui, comme son nom l'indique, réunit les amis du Liban à Tahiti, Joseph Maroun fonda en 1997 le magazine Arz Lebnaan qui diffuse les principes de cette association tels que l'environnement, l'enfance, le tourisme, la francophonie, la démocratie, la liberté, etc. Et selon Joseph Maroun, qui assume aussi la mission de rédacteur en chef, « Arz Lebnaan porte bien son nom puisqu'il fait régulièrement mention de la beauté du Liban et de ses habitants ». C'est en 1998 que Joseph Maroun s'est adressé aux lecteurs pour la première fois à travers l'édito de son premier numéro d'Arz Lebnaan. Certaines éditions de ce magazine furent dédiées à des thèmes spécifiques tels que les enfants, vu « l'intérêt que doit porter notre société (libanaise) à l'enfant, à sa sécurité et à son éducation dans un confort affectif au sein même de la famille ». « Et quel enfant pourra vraiment devenir un adulte libre si sa mère ne l'est pas ? » affirme Maroun dans l'édito du 13e numéro de 2010 dédié aux femmes dont « la situation est liée à la gloire d'une nation, mais aussi à sa décadence. La libération de la femme et sa promotion sont des conditions nécessaires au développement de la nation et à la liberté des citoyens », a souligné Maroun à travers les pages de ce numéro plein d'émotions.
Les couvertures de ce magazine sont réalisées par des artistes polynésiens ; un fait qui reflète l'amour que porte le peuple de la terre d'accueil de Maroun pour le Liban, son cèdre et ses citoyens. C'est dans cet esprit d'amour, de partage et de responsabilité que l'équipe d'Arz Lebnaan, regroupant plusieurs personnalités du monde économique, touristique, culturel et politique, a participé - et participe toujours - à la rédaction des articles de ce magazine qui, selon Maroun, « se veut porteur du message d'espoir, d'amour, de vie et de beauté ».
« FrancOcéanie », un magazine pour la francophonie en Polynésie
Le 20 mars 2009, au cours de la journée mondiale de la francophonie, un nouveau club vit le jour : « Le Club Polynésien de la Francophonie ». Qui en est le fondateur ? Joseph Maroun, ce Libanais qui a décidé de diriger une association qui diffuse l'esprit de la Francophonie, en plus de sa mission à la tête de l'association qui lutte pour le bien-être de son pays. Qui sont les membres concernés ? Des hommes politiques, des journalistes, des écrivains et des artistes polynésiens et étrangers résidant en Polynésie française et ayant la Francophonie comme centre d'intérêts. La date de naissance officielle de ce Club est le 27 juillet 2009. Quant à son outil de promotion, il est déjà prêt, son nom est « FrancOcéanie », le magazine du Club Polynésien de la Francophonie. Sous l'égide de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le premier numéro de cette revue vient de paraitre cette année, se fixant pour but de propager les valeurs de ce Club, en l'occurrence celles de la Francophonie, en Polynésie française et dans la région du Pacifique Sud. Une revue prometteuse qui n'est qu'au début de sa mission mais qui, dès son premier numéro, s'avère digne de confiance !
RJ Liban a eu l'honneur de rencontrer Joseph Maroun en janvier dernier à Batroun, sa ville d'origine, au cours de son séjour au Liban pour discuter de ses projets actuels et futurs et lui accorder son soutien à partir de son pays natal, le Liban. A travers cet article, nous souhaitons bonne chance à cet homme qui porte sa mère patrie au fin fond de son cœur et qui rêve de faire du Liban une perle unique au Moyen-Orient et de par le monde...
Derrière ces deux clubs et leurs deux magazines se tient un homme fier de sa nationalité, une perle libanaise rare vivant à Tahiti, Joseph Maroun. Ce Libanais d'origine a quitté son pays pour la France à l'âge de 18 ans, pour suivre des études en sciences économiques avant de se spécialiser en marketing. En 1982, il se rendit à Tahiti, en Polynésie française, où il se forgea une carrière de directeur commercial et de développement dans une compagnie polynésienne avant de devenir conseiller en communication à la commission permanente de l'Assemblée de la Polynésie française et au gouvernement de Polynésie, et d'occuper son poste actuel de conseiller à la « perliculture » et en...
