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Lifestyle - Musique

Les « mains de papillon » de Julien Khoury

Vendredi soir, le public du Festival de Tyr est tombé sous le charme du jeune Julien Khoury, qui a joué de sa darbouka en solo pendant quelques minutes, accélérant et ralentissant le rythme de ses percussions devant le silence émerveillé des spectateurs.  « Ses mains sont comme des papillons », a déclaré une jeune femme, dans le public, après sa prestation.
Julien Khoury s'est produit dans le cadre d'un concert de jeunes talents syriens en première partie du spectacle de vendredi soir. C'est ainsi un orchestre d'enfants et d'adolescents qui a interprété divers titres du répertoire folklorique libano-syrien, accompagné d'une chorale. Le chef d'orchestre n'a pas manqué de souligner, dans une allocution aux accents plus politiques que musicaux, les « liens d'amitié » qui existent entre les deux pays.
Dans la seconde partie de la soirée, les quarante-deux danseurs de la troupe Ornia ont interprété Tawk el-Yasamin, un spectacle métaphorique racontant la naissance de la ville millénaire de Damas.

G .A.
Vendredi soir, le public du Festival de Tyr est tombé sous le charme du jeune Julien Khoury, qui a joué de sa darbouka en solo pendant quelques minutes, accélérant et ralentissant le rythme de ses percussions devant le silence émerveillé des spectateurs.  « Ses mains sont comme des papillons », a déclaré une jeune...
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